A 11H35 (09H35 GMT), la valeur du transporteur aérien enregistrait la plus forte baisse de l'indice SBF 120, reculant de 6,11% à 6,16 euros alors que l'indice CAC 40 reculait pour sa part de 0,51%.
Les analystes de Morgan Stanley ont revu à la baisse leur objectif de cours, à 7,55 euros contre 7,60 euros précédemment, anticipant des résultats au 2e trimestre "plus faibles que prévu".
En ligne de mire "La faiblesse de la recette unitaire, en particulier en juin, qui apparaît anormale" surtout comparé aux résultats des autres compagnies, ainsi que "les incertitudes concernant la possibilité de poursuivre les restructurations sociales pourraient peser".
Les analystes de Morgan Stanley ont revu à la baisse leur objectif de cours, à 7,55 euros contre 7,60 euros précédemment, anticipant des résultats au 2e trimestre "plus faibles que prévu".
En ligne de mire "La faiblesse de la recette unitaire, en particulier en juin, qui apparaît anormale" surtout comparé aux résultats des autres compagnies, ainsi que "les incertitudes concernant la possibilité de poursuivre les restructurations sociales pourraient peser".
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Pas mieux du côté de Jefferies, le courtier américain qui repasse le titre à "sous-performer" en fixant un objectif de cours à 5,80 euros.
Outre les doutes sur la stratégie en matière de moyen-courrier et la restructuration sociale (Plan TRANSFORM 2015) qui pourrait être réévaluée à la hausse, le trafic ne rassure pas : s'il était en hausse de 2,5% en juin malgré la grève des contrôleurs aériens européens, la recette unitaire, elle, s'affichait à la baisse.
Outre les doutes sur la stratégie en matière de moyen-courrier et la restructuration sociale (Plan TRANSFORM 2015) qui pourrait être réévaluée à la hausse, le trafic ne rassure pas : s'il était en hausse de 2,5% en juin malgré la grève des contrôleurs aériens européens, la recette unitaire, elle, s'affichait à la baisse.