La future porte-parole de Joe Biden a annoncé un renforcement des restrictions sur les voyages - Crédit photo : Adobe Stock
2021 s'annonce encore compliquée pour les professionnels du tourisme.
Vaccin ou pas, l'Australie a déjà annoncé que le pays restera fermé aux voyages internationaux. Les destinations long-courriers vont durablement manquer à l'appel, notamment pour la première d'entre elles.
Alors que l'administration Trump a communiqué sur une possible reprise des vols vers l'Europe à partir du 26 janvier 2021, sur présentation d'un test négatif à d'embarquer, l'équipe de Joe Biden a fermement démenti.
Voici une des dernières passes d'armes, que rapportent nos confrères du Figaro, d'une transition pour l'heure unique dans l'histoire d'un pays très fortement divisé.
En effet, c'est sur le média préféré de Donald Trump que Jen Psaki, la future porte-parole du nouveau président, a répondu à l'ancienne équipe.
"Avec l'aggravation de la pandémie et l'émergence de variantes plus contagieuses dans le monde, ce n'est pas le moment de lever les restrictions sur les voyages internationaux," a expliqué sur Twitter, la future porte-parole de Joe Biden.
Vaccin ou pas, l'Australie a déjà annoncé que le pays restera fermé aux voyages internationaux. Les destinations long-courriers vont durablement manquer à l'appel, notamment pour la première d'entre elles.
Alors que l'administration Trump a communiqué sur une possible reprise des vols vers l'Europe à partir du 26 janvier 2021, sur présentation d'un test négatif à d'embarquer, l'équipe de Joe Biden a fermement démenti.
Voici une des dernières passes d'armes, que rapportent nos confrères du Figaro, d'une transition pour l'heure unique dans l'histoire d'un pays très fortement divisé.
En effet, c'est sur le média préféré de Donald Trump que Jen Psaki, la future porte-parole du nouveau président, a répondu à l'ancienne équipe.
"Avec l'aggravation de la pandémie et l'émergence de variantes plus contagieuses dans le monde, ce n'est pas le moment de lever les restrictions sur les voyages internationaux," a expliqué sur Twitter, la future porte-parole de Joe Biden.
Un nouveau variant californien "hautement transmissible"
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Les Etats-Unis, une destination qui a le vent en poupe
Le contraire aurait été étonnant, en raison d'une épidémie qui a repris malheureusement sa marche en avant et dans des proportions inquiétantes.
De plus même si les USA auraient eu l'intention de rouvrir les frontières vers l'Europe, rien ne dit que cette dernière aurait permis les échanges entre les deux territoires.
Surtout que le pays de l'oncle Sam connait lui aussi un nouveau variant. Nommé le "variant Californien" ou L452R, celui-ci a provoqué "une nouvelle flambée des contaminations dans le comté de Los Angles," expliquent nos confrères du New York Times.
A l'origine, le variant a été détecté au Danemark, notamment dans les élevages de visons, déjà pointés du doigt comme probable cause de l'émergence du virus en Chine.
Ce nouveau variant présente "une combinaison de mutations jamais observées auparavant, " selon l'OMS. Surtout il présente des signes inquiétants en étant probablement "hautement transmissible".
Dans ces conditions, la nouvelle administration devrait resserrer la vis.
"Sur l'avis de notre équipe médicale, l'Administration n'a pas l'intention de lever ces restrictions le 1/26. En fait, nous prévoyons de renforcer les mesures de santé publique autour des voyages internationaux afin d'atténuer davantage la propagation du COVID-19" a conclu Jen Psaki.
Les USA attendront et nous aussi...
De plus même si les USA auraient eu l'intention de rouvrir les frontières vers l'Europe, rien ne dit que cette dernière aurait permis les échanges entre les deux territoires.
Surtout que le pays de l'oncle Sam connait lui aussi un nouveau variant. Nommé le "variant Californien" ou L452R, celui-ci a provoqué "une nouvelle flambée des contaminations dans le comté de Los Angles," expliquent nos confrères du New York Times.
A l'origine, le variant a été détecté au Danemark, notamment dans les élevages de visons, déjà pointés du doigt comme probable cause de l'émergence du virus en Chine.
Ce nouveau variant présente "une combinaison de mutations jamais observées auparavant, " selon l'OMS. Surtout il présente des signes inquiétants en étant probablement "hautement transmissible".
Dans ces conditions, la nouvelle administration devrait resserrer la vis.
"Sur l'avis de notre équipe médicale, l'Administration n'a pas l'intention de lever ces restrictions le 1/26. En fait, nous prévoyons de renforcer les mesures de santé publique autour des voyages internationaux afin d'atténuer davantage la propagation du COVID-19" a conclu Jen Psaki.
Les USA attendront et nous aussi...