Les hôtels parisiens affichent de très bons résultats de fréquentation étrangère au premier trimestre 2017 - Photo : ake1150 - Fotolia.com
Au premier trimestre 2017, la fréquentation touristique en France métropolitaine a progressé de 1,1 % en nuitées (61 millions), selon l'Insee.
Une bonne nouvelle pour la destination après la hausse de 3,8 % enregistrée au 4e trimestre 2016.
C'est la clientèle étrangère (+2,7 %) qui porte la croissance. Elle représentent 28,2 % du total de nuitées en France sur les 3 premiers mois de 2017.
Les hôtels profitent le plus du regain de la fréquentation étrangère. Celle-ci représente 31,4 % de parts de marché sur la période grâce à un rebond de 4,5 % par rapport à début 2016.
Au total, les hôtels français comptent 40,1 millions de nuitées au premier trimestre 2017. C'est 2,3 % de plus qu'il y a un an.
Une augmentation portée par les établissements 4 et 5 étoiles. Leur nombre de nuitées (10,3 millions) y grimpe de 10,6 %. Elles sont réalisées à 46,8 % par des étrangers.
Pour les autres hébergements collectifs touristiques, le nombre de nuitées se replie de 1,1 % à 20,9 millions pour le premier trimestre 2017.
Les nuitées de Français gagnent, elles, seulement 0,5 % par rapport au premier trimestre 2016. La part des clients étrangers y est globalement plus faible que dans les hôtels (22,1 %).
Une bonne nouvelle pour la destination après la hausse de 3,8 % enregistrée au 4e trimestre 2016.
C'est la clientèle étrangère (+2,7 %) qui porte la croissance. Elle représentent 28,2 % du total de nuitées en France sur les 3 premiers mois de 2017.
Les hôtels profitent le plus du regain de la fréquentation étrangère. Celle-ci représente 31,4 % de parts de marché sur la période grâce à un rebond de 4,5 % par rapport à début 2016.
Au total, les hôtels français comptent 40,1 millions de nuitées au premier trimestre 2017. C'est 2,3 % de plus qu'il y a un an.
Une augmentation portée par les établissements 4 et 5 étoiles. Leur nombre de nuitées (10,3 millions) y grimpe de 10,6 %. Elles sont réalisées à 46,8 % par des étrangers.
Pour les autres hébergements collectifs touristiques, le nombre de nuitées se replie de 1,1 % à 20,9 millions pour le premier trimestre 2017.
Les nuitées de Français gagnent, elles, seulement 0,5 % par rapport au premier trimestre 2016. La part des clients étrangers y est globalement plus faible que dans les hôtels (22,1 %).
Paris, moteur de la croissance
Les zones urbaines, et principalement Paris, affichent de loin les meilleures progressions de fréquentation touristique au premier trimestre 2017.
Avec 14 millions de nuitées – dont 51 % de touristes étrangers – Paris est le moteur de la croissance du pays : 9,9 % de hausse sur les trois premiers mois de l'année. Pour les clients étrangers, la progression atteint même 12,6 %.
Les grandes villes françaises de province sont globalement en croissance, elles aussi, avec une moyenne (hors agglomération de Paris) de +1,4 % à 12,6 millions de nuitées dans les hôtels, dont 18 % d'étrangers.
La fréquentation des hôtels de montagne chute, en revanche, de 6,5 % au premier trimestre 2017, "en raison d'un enneigement médiocre, surtout en début de saison", analyse l'Insee.
Pour les autres hébergements collectifs touristiques de montagne, la baisse est de 6,1 % par rapport à début 2016. Outre les conditions météorologiques, l'Insee mentionne "une nouvelle baisse de l'offre sur ce type d'hébergements".
Avec 14 millions de nuitées – dont 51 % de touristes étrangers – Paris est le moteur de la croissance du pays : 9,9 % de hausse sur les trois premiers mois de l'année. Pour les clients étrangers, la progression atteint même 12,6 %.
Les grandes villes françaises de province sont globalement en croissance, elles aussi, avec une moyenne (hors agglomération de Paris) de +1,4 % à 12,6 millions de nuitées dans les hôtels, dont 18 % d'étrangers.
La fréquentation des hôtels de montagne chute, en revanche, de 6,5 % au premier trimestre 2017, "en raison d'un enneigement médiocre, surtout en début de saison", analyse l'Insee.
Pour les autres hébergements collectifs touristiques de montagne, la baisse est de 6,1 % par rapport à début 2016. Outre les conditions météorologiques, l'Insee mentionne "une nouvelle baisse de l'offre sur ce type d'hébergements".
