Le problème, c'est que l'homme à la moumoute cuivrée, milliardaire en dollars et autres monnaie de taille, semble largement en tête des primaires républicaines et pourrait se retrouver sans tambour ni trompette candidat favori à la Présidence des États Unis - Photo Capture écran donaldjtrump.com
Qu'on le veuille ou non, les États Unis d'Amérique régissent le monde. Parfois dans le bon sens, parfois en dépit de toute morale, mais toujours dans l'intérêt de valeurs très subjectives...
Le problème étant quand même, que dans ces États Unis d'Amérique, le Président est quasi tout puissant, se reposant d'ailleurs sur la maxime « in God we trust » et basta...
Jusqu'à présent, ça se passait plutôt pas trop mal, les Républicains (de droite) cédant régulièrement la place aux Démocrates (équivalent de notre gauche française), selon les humeurs du moment.
Le monde étant ce qu'il est, les crises géopolitiques se succédant à la vitesse d'un Speedy Gonzales... est en train de se profiler à l'horizon de très bientôt un personnage qui fait très peur.
Pourtant, rien que le prénom, Donald, ne peut porter qu'à l'esquisse d'un sourire. Trump, son patronyme, évoque selon que l'on soit musicien la Trompette, soit, pour les amoureux de la nature, la Trompe... de l'éléphant, par exemple. Un animal bien sympathique au demeurant.
Le problème étant quand même, que dans ces États Unis d'Amérique, le Président est quasi tout puissant, se reposant d'ailleurs sur la maxime « in God we trust » et basta...
Jusqu'à présent, ça se passait plutôt pas trop mal, les Républicains (de droite) cédant régulièrement la place aux Démocrates (équivalent de notre gauche française), selon les humeurs du moment.
Le monde étant ce qu'il est, les crises géopolitiques se succédant à la vitesse d'un Speedy Gonzales... est en train de se profiler à l'horizon de très bientôt un personnage qui fait très peur.
Pourtant, rien que le prénom, Donald, ne peut porter qu'à l'esquisse d'un sourire. Trump, son patronyme, évoque selon que l'on soit musicien la Trompette, soit, pour les amoureux de la nature, la Trompe... de l'éléphant, par exemple. Un animal bien sympathique au demeurant.
Le problème, c'est que l'homme à la moumoute cuivrée, milliardaire en dollars et autres monnaie de taille, semble largement en tête des primaires républicaines et pourrait se retrouver sans tambour ni trompette candidat favori à la Présidence des États Unis.
Et une probable probabilité (oui, c'est exprès) d'être élu Président !
Et si tel était le cas, ce serait du gros damned !
Particulièrement, encore que ce ne soit pas le plus grave, pour le tourisme, mais aussi pour le monde dans son ensemble.
Voilà effectivement un type qui entend bien « redonner à l'Amérique sa grandeur », (sic) tout en se clôturant derrière des murs hauts et épais.
Pour ce qui est de la grandeur des USA, faudrait que ce grand démocrate (bien qu'il soit républicain), Trump commence par se soucier de ses propres employés.
« Nous voulons être traités comme des êtres humains », rapporte notre confrère Le Monde après avoir interrogé une salariée de Trump !
Pas plus tard que mardi dernier, le bon trompette cuivrée, passant par Las Vegas où il possède une petite tour hôtelière de 64 étages, était apostrophé par ses salariés, lesquels en ont marre d'être exploités. D'autant que ce sont en grande majorité des émigrés pour qui toute possibilité d'adhérer à un syndicat est totalement exclue.
D'ailleurs, Trump refuse les syndicats, comme il semble refuser toute ouverture vers le monde.
Sauf pour madame Trompe, venue d'un lointain pays de l'est... Il est vrai que sa plastique a surement abattu bien des murs et conduit quelques seins (pardon, saints) à se damner...
Et une probable probabilité (oui, c'est exprès) d'être élu Président !
Et si tel était le cas, ce serait du gros damned !
Particulièrement, encore que ce ne soit pas le plus grave, pour le tourisme, mais aussi pour le monde dans son ensemble.
Voilà effectivement un type qui entend bien « redonner à l'Amérique sa grandeur », (sic) tout en se clôturant derrière des murs hauts et épais.
Pour ce qui est de la grandeur des USA, faudrait que ce grand démocrate (bien qu'il soit républicain), Trump commence par se soucier de ses propres employés.
« Nous voulons être traités comme des êtres humains », rapporte notre confrère Le Monde après avoir interrogé une salariée de Trump !
Pas plus tard que mardi dernier, le bon trompette cuivrée, passant par Las Vegas où il possède une petite tour hôtelière de 64 étages, était apostrophé par ses salariés, lesquels en ont marre d'être exploités. D'autant que ce sont en grande majorité des émigrés pour qui toute possibilité d'adhérer à un syndicat est totalement exclue.
D'ailleurs, Trump refuse les syndicats, comme il semble refuser toute ouverture vers le monde.
Sauf pour madame Trompe, venue d'un lointain pays de l'est... Il est vrai que sa plastique a surement abattu bien des murs et conduit quelques seins (pardon, saints) à se damner...
Touristiquement parlant, peu de touristes (pourvoyeurs quand même de devises vers les USA) n'ont grâce à ses yeux. Si j'en crois ses dernières déclarations, et s'il est élu président, pour pouvoir "tourister" en "Yankeery", faudra non seulement disposer d'un passeport super électronique, être blanc (pas bronzé, très mauvais), blond de préférence (les roux auront aussi accès), présenter une attestation de chrétien... Bon, je caricature, mais...
Le type entend d'ailleurs faire construire un mur... de la honte entre le Mexique et les USA, afin d'empêcher les migrants mexicains de venir tenter d’assouvir leurs rêves vers l'eldorado américain !
Pape François, avec son bon sens, estimait qu'une « personne qui veut construire des murs et non des ponts n'est pas chrétienne » !
Sûr, François 1er, c'est pas faux. Le problème n'étant pas trop d'être chrétien ou pas, le problème résidant surtout dans le fait qu'un type dénué de tout sens politique pourrait nous mettre une guerre mondiale sur le dos.
A coup de trompettes... dans les oreilles !
Ca couaque grave...
Le type entend d'ailleurs faire construire un mur... de la honte entre le Mexique et les USA, afin d'empêcher les migrants mexicains de venir tenter d’assouvir leurs rêves vers l'eldorado américain !
Pape François, avec son bon sens, estimait qu'une « personne qui veut construire des murs et non des ponts n'est pas chrétienne » !
Sûr, François 1er, c'est pas faux. Le problème n'étant pas trop d'être chrétien ou pas, le problème résidant surtout dans le fait qu'un type dénué de tout sens politique pourrait nous mettre une guerre mondiale sur le dos.
A coup de trompettes... dans les oreilles !
Ca couaque grave...