La France décroche près de 100 M€ pour la décarbonation des transports - Depositphotos.com Auteur TomasRagina
L'Union européenne a dévoilé les résultats de la deuxième échéance de l’appel à projets Alternative Fuels Infrastructure Facility (AFIF), lancé en novembre 2024.
Au total, 70 projets ont été retenus à l’échelle européenne pour un financement global d’environ 601 M€.
La France se distingue avec 16 projets sélectionnés pour un montant total avoisinant les 100 M€ de subventions européennes.
Selon le communiqué, l’AFIF mobilise 1 Md€ sur la période 2024-2025 afin de soutenir le déploiement d’infrastructures favorisant les carburants alternatifs sur les réseaux routiers, maritimes, fluviaux et aériens du RTE-T.
Ce dispositif, intégré au Mécanisme pour l’interconnexion en Europe – volet Transport (MIE-T), couplera les subventions européennes aux financements d’institutions telles que la Caisse des Dépôts et Consignations.
Au total, 70 projets ont été retenus à l’échelle européenne pour un financement global d’environ 601 M€.
La France se distingue avec 16 projets sélectionnés pour un montant total avoisinant les 100 M€ de subventions européennes.
Selon le communiqué, l’AFIF mobilise 1 Md€ sur la période 2024-2025 afin de soutenir le déploiement d’infrastructures favorisant les carburants alternatifs sur les réseaux routiers, maritimes, fluviaux et aériens du RTE-T.
Ce dispositif, intégré au Mécanisme pour l’interconnexion en Europe – volet Transport (MIE-T), couplera les subventions européennes aux financements d’institutions telles que la Caisse des Dépôts et Consignations.
Des projets qui concernent les ports, les aéroports notamment
Après une première échéance qui avait permis à neuf projets français de bénéficier de 75 M€, cette nouvelle sélection confirme l’intérêt porté par Bruxelles aux initiatives nationales.
Les financements obtenus couvrent plusieurs volets clés de la transition écologique :
Pour le ministre des Transports, Philippe Tabarot, ces résultats constituent un levier essentiel dans la transition du secteur. « La décarbonation de nos réseaux de transport exige des investissements majeurs. La France y consacre des moyens significatifs et continuera de le faire, dans la lignée des conclusions de la Conférence Ambition France Transport. Dans ce chantier décisif pour les décennies à venir, le soutien de l’Union européenne permet d’accompagner l’effort national et de rendre possibles des investissements conséquents dans un contexte budgétaire particulièrement contraint », souligne-t-il.
A lire aussi : Décarbonation de l’aérien : les 4 lauréats de l’appel à projets Carb Aéro sont…
Les financements obtenus couvrent plusieurs volets clés de la transition écologique :
- alimentation électrique des navires à quai, notamment à Saint-Malo, Bordeaux et au sein de HAROPA ;
- électrification des opérations aéroportuaires, à Toulouse-Blagnac et Paris-Charles-de-Gaulle ;
- développement de stations de recharge pour véhicules électriques ;
- modernisation de dépôts de bus pour accélérer l’électromobilité, avec notamment Keolis ;
- soutien à la filière hydrogène, via de nouvelles stations de distribution.
Pour le ministre des Transports, Philippe Tabarot, ces résultats constituent un levier essentiel dans la transition du secteur. « La décarbonation de nos réseaux de transport exige des investissements majeurs. La France y consacre des moyens significatifs et continuera de le faire, dans la lignée des conclusions de la Conférence Ambition France Transport. Dans ce chantier décisif pour les décennies à venir, le soutien de l’Union européenne permet d’accompagner l’effort national et de rendre possibles des investissements conséquents dans un contexte budgétaire particulièrement contraint », souligne-t-il.
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