Décidément, notre époque adore les acronymes. La RSE, ou Responsabilité Sociétale des Entreprises ne déroge pas à la règle.
Mais celui-ci est plutôt intéressant et peut permettre à votre entreprise d’être en amont des évolutions du secteur et ainsi, se différencier. On y va ?
Mais celui-ci est plutôt intéressant et peut permettre à votre entreprise d’être en amont des évolutions du secteur et ainsi, se différencier. On y va ?
La Responsabilité Sociétale des Entreprises, c’est quoi ?
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En 2011, la Commission Européenne l’a défini comme étant « la responsabilité des entreprises vis-à-vis des effets qu’elles exercent sur la société », en l’accompagnant d’une norme ISO 26000 qu’on vous épargnera.
L’idée maîtresse étant de créer un cadre pour réduire au maximum l’impact environnemental, social et économique qu’une entreprise peut avoir à moyen ou long terme, en tenant compte de l’impact de ses sous-traitants, de sa clientèle bref de tout son écosystème.
Plutôt large comme définition, et pour cause, la démarche est volontaire, à l’entreprise de l’appliquer comme elle le souhaite en l’adaptant à ses enjeux et son activité.
L’idée maîtresse étant de créer un cadre pour réduire au maximum l’impact environnemental, social et économique qu’une entreprise peut avoir à moyen ou long terme, en tenant compte de l’impact de ses sous-traitants, de sa clientèle bref de tout son écosystème.
Plutôt large comme définition, et pour cause, la démarche est volontaire, à l’entreprise de l’appliquer comme elle le souhaite en l’adaptant à ses enjeux et son activité.
C’est quoi, une entreprise « responsable » ?
On avait dit qu’on vous épargnait ISO 26 000. Mais c’est quand même la référence mondiale en la matière.
Si on se réfère à cette norme, pour être un maximum responsable, une entreprise doit : respecter les textes internationaux (c’est quand même la base), prendre en compte les parties prenantes (si vous avez une démarche éthique mais que vos fournisseurs ne l’ont pas, cela peut poser un problème) et être transparent dans vos comportements sociaux et environnementaux.
L’Union Européenne ajoute 2 autres points : la théorie, avec la création d’une communauté de valeurs (une charte, par exemple) qui devra être respectée par les parties prenantes (sous-traitants, actionnaires, salariés) et la pratique, avec des efforts concrets de l’entreprise pour atténuer et prévenir son impact social et environnemental.
Si on se réfère à cette norme, pour être un maximum responsable, une entreprise doit : respecter les textes internationaux (c’est quand même la base), prendre en compte les parties prenantes (si vous avez une démarche éthique mais que vos fournisseurs ne l’ont pas, cela peut poser un problème) et être transparent dans vos comportements sociaux et environnementaux.
L’Union Européenne ajoute 2 autres points : la théorie, avec la création d’une communauté de valeurs (une charte, par exemple) qui devra être respectée par les parties prenantes (sous-traitants, actionnaires, salariés) et la pratique, avec des efforts concrets de l’entreprise pour atténuer et prévenir son impact social et environnemental.
Et ça marche comment ?
On vous l’accorde, c’est complexe, mais il existe des formations en RSE pour appréhender les enjeux de manière globale.
On peut intégrer un spécialiste RSE au sein de l’entreprise (le plus souvent, la personne qui gère la communication et le marketing). On peut aussi s’appuyer sur des cabinets de conseils spécialisés.
Le premier pas, c’est l’audit : faire un état des lieux, discuter avec les salariés, évaluer le comportement des sous-traitants, comprendre votre activité et ses problématiques.
Ensuite vient le moment d’établir une stratégie : après avoir vu d’où on part, on va établir où on veut aller.
Pour cela on va se choisir des outils : quels indicateurs économiques, sociaux et environnementaux va-t-on prioriser, quel planning.
Enfin, vient le moment de la communication, en interne, auprès des parties prenantes et en direction de ses clients. La transparence valorisera les salariés et attirera la clientèle.
On peut intégrer un spécialiste RSE au sein de l’entreprise (le plus souvent, la personne qui gère la communication et le marketing). On peut aussi s’appuyer sur des cabinets de conseils spécialisés.
Le premier pas, c’est l’audit : faire un état des lieux, discuter avec les salariés, évaluer le comportement des sous-traitants, comprendre votre activité et ses problématiques.
Ensuite vient le moment d’établir une stratégie : après avoir vu d’où on part, on va établir où on veut aller.
Pour cela on va se choisir des outils : quels indicateurs économiques, sociaux et environnementaux va-t-on prioriser, quel planning.
Enfin, vient le moment de la communication, en interne, auprès des parties prenantes et en direction de ses clients. La transparence valorisera les salariés et attirera la clientèle.
Concrètement ça sert à quoi ?
Pour votre entreprise, la RSE va valoriser votre image, et fidéliser une clientèle de plus en plus en demande de transparence et de plus en plus consciente des enjeux.
Mais au-delà de la communication, la démarche RSE va aussi être bénéfique économiquement.
S’adapter, c’est innover, attirer des partenaires ou de futurs salariés créatifs, et développer votre business en lui donnant une nouvelle dimension. C’est aussi faire des économies, en choisissant des partenaires locaux (moins de trajet, possibilité d’échanges plus larges…), en revoyant votre consommation d’eau ou d’énergie, en réutilisant vos déchets…
En gérant mieux ses risques, ses dépenses, l’entreprise gère mieux son avenir et peut plus facilement avoir un regard à long terme. Un positionnement rassurant tant pour les clients que pour les salariés et les partenaires, voire les actionnaires.
Au-delà et de manière certes moins engageante, la crise climatique impacte la politique internationale et l’économie mondiale.
Ne pas opérer de transition c’est ne pas s’adapter, et se condamner à devenir obsolète. Rappelez-vous du tournant digital. Être pour ou contre n'est plus un débat, la vraie question est : comment. La RSE vous aide simplement à passer le cap du tournant durable qui s’opère aujourd’hui.
Mais au-delà de la communication, la démarche RSE va aussi être bénéfique économiquement.
S’adapter, c’est innover, attirer des partenaires ou de futurs salariés créatifs, et développer votre business en lui donnant une nouvelle dimension. C’est aussi faire des économies, en choisissant des partenaires locaux (moins de trajet, possibilité d’échanges plus larges…), en revoyant votre consommation d’eau ou d’énergie, en réutilisant vos déchets…
En gérant mieux ses risques, ses dépenses, l’entreprise gère mieux son avenir et peut plus facilement avoir un regard à long terme. Un positionnement rassurant tant pour les clients que pour les salariés et les partenaires, voire les actionnaires.
Au-delà et de manière certes moins engageante, la crise climatique impacte la politique internationale et l’économie mondiale.
Ne pas opérer de transition c’est ne pas s’adapter, et se condamner à devenir obsolète. Rappelez-vous du tournant digital. Être pour ou contre n'est plus un débat, la vraie question est : comment. La RSE vous aide simplement à passer le cap du tournant durable qui s’opère aujourd’hui.