Je n’ai pas ici assez d’espace pour tout vous raconter et disserter sur le grand show de notre ancien Président - DR : C.E.
Arrivé en retard, comme il se doit, notre ex-Président de la République avait déjà conquis la salle bien avant son arrivée.
Faut dire qu’il sait faire, qu’il est rompu à ce genre d’exercice et que finalement, les gens aiment ça.
Sans oublier que pour l’image du président Abitbol, ça ne fait pas de mal non plus, même si ce dernier a définitivement balayé toute velléité de contestation dans « son » réseau.
J’y reviens plus bas, ne ratez pas la marche et poursuivons avec la prestation de Nicolas Sarko, lequel faisait « très fort » dès la première question posée de voix de maître par François-Xavier Izenic, Monsieur Loyal du show, toujours aussi rigoureux dans son animation : « Le tourisme, qu’en pensez-vous ? ».
J’avoue avoir été bluffé, parce que finalement, ces hommes politiques de haut niveau, tels les athlètes, sont tellement formatés, éduqués que ça en devient très étonnant.
Là non plus, ça n’a pas loupé. Nicolas Sarkozy a ouvert la case « N6 » et, tranquille, bien que les épaules un peu tressautantes, a répondu sourire en coin que le « poids économique du tourisme n’était pas assez reconnu », parce que, et là c’est parti brillamment, « le tourisme apportait à la France des recettes non négligeables, etc. etc. »
Faut dire qu’il sait faire, qu’il est rompu à ce genre d’exercice et que finalement, les gens aiment ça.
Sans oublier que pour l’image du président Abitbol, ça ne fait pas de mal non plus, même si ce dernier a définitivement balayé toute velléité de contestation dans « son » réseau.
J’y reviens plus bas, ne ratez pas la marche et poursuivons avec la prestation de Nicolas Sarko, lequel faisait « très fort » dès la première question posée de voix de maître par François-Xavier Izenic, Monsieur Loyal du show, toujours aussi rigoureux dans son animation : « Le tourisme, qu’en pensez-vous ? ».
J’avoue avoir été bluffé, parce que finalement, ces hommes politiques de haut niveau, tels les athlètes, sont tellement formatés, éduqués que ça en devient très étonnant.
Là non plus, ça n’a pas loupé. Nicolas Sarkozy a ouvert la case « N6 » et, tranquille, bien que les épaules un peu tressautantes, a répondu sourire en coin que le « poids économique du tourisme n’était pas assez reconnu », parce que, et là c’est parti brillamment, « le tourisme apportait à la France des recettes non négligeables, etc. etc. »
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Bien vu, d’autant que, sans vouloir être cynique, pas plus que taquin, le tourisme sous le quinquennat de Président Sarkozy n’a pas brillé par l’attention qu’il a accordé au secteur.
Si j’ai bonne mémoire et à l’époque ce secteur qui représente en PIB plus que l’industrie automobile ou le secteur agricole, qui n’était pas dans une forme éblouissante, n’a jamais été la priorité de son gouvernement.
Si je me souviens bien, il (et je cite), « considérait que le tourisme n’avait pas besoin d’un soutien de l’Etat : ça marche tout seul ! »
Ce qui s’était d’ailleurs concrétisé par la nomination au secrétariat d’État au Tourisme de mon idole de toujours, cet excellent Fred Zadig. Lequel a fini par se fâcher avec son président et a, pour le moment, complètement disparu de la scène politique. Mais le désert, sa traversée, c’est très beau…
Bon, je "galège" comme le disent mes camarades du siège à Marseille.
Sarko a décidé de changer de vie, c’est lui qui raconte, moi je ne suis qu’un observateur et nous a confié que « voir le monde de l’entreprise de l’intérieur, on en apprend des choses » !
D’ailleurs, il faudrait, ce serait une bonne idée que les hommes et femmes politiques fassent un stage dans le monde réel du travail, c’est intéressant. Mais bon, faut pas trop quand même !
Si j’ai bonne mémoire et à l’époque ce secteur qui représente en PIB plus que l’industrie automobile ou le secteur agricole, qui n’était pas dans une forme éblouissante, n’a jamais été la priorité de son gouvernement.
Si je me souviens bien, il (et je cite), « considérait que le tourisme n’avait pas besoin d’un soutien de l’Etat : ça marche tout seul ! »
Ce qui s’était d’ailleurs concrétisé par la nomination au secrétariat d’État au Tourisme de mon idole de toujours, cet excellent Fred Zadig. Lequel a fini par se fâcher avec son président et a, pour le moment, complètement disparu de la scène politique. Mais le désert, sa traversée, c’est très beau…
Bon, je "galège" comme le disent mes camarades du siège à Marseille.
Sarko a décidé de changer de vie, c’est lui qui raconte, moi je ne suis qu’un observateur et nous a confié que « voir le monde de l’entreprise de l’intérieur, on en apprend des choses » !
D’ailleurs, il faudrait, ce serait une bonne idée que les hommes et femmes politiques fassent un stage dans le monde réel du travail, c’est intéressant. Mais bon, faut pas trop quand même !
Dominique Gobert - DR
La suite de la prestation sarkozienne a été tout aussi, comment dire, brillante, drôle, piquante, un brin de populisme parfois (ça marche toujours) mais sans aucune véritable réponse aux grands problèmes du monde.
La violence, qui accable de plus en plus le monde occidental ? Normal, le monde évolue et la suprématie de l’Ouest sera petit à petit effacée au profit de l’Est et de l’Asie : Erdogan, Xi Jin Ping, Poutine seront (et sont déjà) les maîtres du monde.
Cette violence qui grimpe dans les pays de l’ouest est celle « d’un peuple qui ne veut pas disparaître ».
Je n’ai pas ici assez d’espace pour tout vous raconter et disserter sur le grand show de notre ancien Président qui se défend, sans grande conviction de faire « un grand retour »… Qui sait, on verra, dit-il !
J’ai quand même réussi à lui poser une question, ce qui n’était pas facile, de savoir ce qu’il pensait de la possibilité de privatisation d’Aéroports de Paris.
Il a répondu en cochant la Case « B9 », c’est-à-dire pas grand-chose : « L’état, a-t-il exprimé, ne mettra pas d’argent pour faire de nos aéroports parisiens, le plus grand et prestigieux des aéroports du monde. Tout dépend des actionnaires qui pourraient s’intéresser à l’affaire ». En clair, « circulez, y’a rien à voir ».
Sans cependant ne pas oublier, en bon amateur de foot qu’il est, de tacler Air France sur le « manque de qualité » de ses sièges.
Je ne savais pas que l’ancien Président de la République voyageait en classe éco. Faut dire qu’il n’a pas eu beaucoup de chance, l’appareil qui l’a transporté était moins neuf que celui que nous avons eu au retour…
Mais ça passe et finalement, tout le monde est content !
La violence, qui accable de plus en plus le monde occidental ? Normal, le monde évolue et la suprématie de l’Ouest sera petit à petit effacée au profit de l’Est et de l’Asie : Erdogan, Xi Jin Ping, Poutine seront (et sont déjà) les maîtres du monde.
Cette violence qui grimpe dans les pays de l’ouest est celle « d’un peuple qui ne veut pas disparaître ».
Je n’ai pas ici assez d’espace pour tout vous raconter et disserter sur le grand show de notre ancien Président qui se défend, sans grande conviction de faire « un grand retour »… Qui sait, on verra, dit-il !
J’ai quand même réussi à lui poser une question, ce qui n’était pas facile, de savoir ce qu’il pensait de la possibilité de privatisation d’Aéroports de Paris.
Il a répondu en cochant la Case « B9 », c’est-à-dire pas grand-chose : « L’état, a-t-il exprimé, ne mettra pas d’argent pour faire de nos aéroports parisiens, le plus grand et prestigieux des aéroports du monde. Tout dépend des actionnaires qui pourraient s’intéresser à l’affaire ». En clair, « circulez, y’a rien à voir ».
Sans cependant ne pas oublier, en bon amateur de foot qu’il est, de tacler Air France sur le « manque de qualité » de ses sièges.
Je ne savais pas que l’ancien Président de la République voyageait en classe éco. Faut dire qu’il n’a pas eu beaucoup de chance, l’appareil qui l’a transporté était moins neuf que celui que nous avons eu au retour…
Mais ça passe et finalement, tout le monde est content !