Régulièrement des articles de presse négatifs sont publiés au sujet de Onur Air. Or ce qui est frappant, c’est que dans la plupart des cas les personnes les plus critiques envers cette compagnie n’ont soit jamais volé avec elle, soit se basent sur des informations indirectes.
Et de dire qu’Onur Air est le prototype même de la compagnie aérienne poubelle, que le service à bord est des plus exécrable, que la propreté de l’appareil est douteuses… Pourtant les congressistes belges n’ont pas hésité à embarquer sur un vol de cette compagnie pour rejoindre le lieu de leur grand messe annuelle.
Le choix d’une compagnie aérienne contestée
De deux choses l’une : soit les AGV belges seraient de tendances suicidaires, soit les informations concernant cette compagnie seraient fortement exagérées. Et si l’on observe les fonctions de certains participants, force est de constater que nombre d’entre eux sont des purs professionnels de l’aérien et qui plus est pour certains d’entre eux des concurrents.
Etienne de Nil, vice président à SN Brussels Airlines, Jos De Coninck, également de la même compagnie belge, Eveline Collard d’Etihad, Béatrice Camus de l’aéroport de Liège, Patrick Anspach journaliste spécialisé de l’aérien au quotidien financier L’Echo et Bernard Demonty journaliste en charge de l’aérien du quotidien Le Soir, ne nous ont pas donné l’impression d’être inquiets en montant à bord de l’appareil.
Etienne de Nil déclarant même : « Onur Air n’est pas une compagnie poubelle » Quant à Jean-Luc Hans, président de l’ABTO : «J’ai travaillé de longues années chez deux TO qui utilisent cette compagnie turque : Bosphorus et Mediterra. L’expérience que j’en retire ? Onur est une compagnie charter qui se situe dans la bonne moyenne. Il y en de meilleures comme il y en a de plus mauvaises ».
Et parmi les participants, on retrouve en plus des AGV plusieurs responsables ou propriétaires de TO habitués à analyser la fiabilité des compagnies aériennes. Faut-il rappeler que l’un d’entre eux, Stefan Boone de Best Tours, n’a pas hésité à publier, en son temps, un communiqué d’alerte envers Phuket Airlines. Dans ce communiqué il signalait la dangerosité de cette compagnie aérienne thaïlandaise.
Ce que nous avons pu constater
Qui dit compagnie aérienne poubelle, signifie généralement que l’état d’entretien et de propreté laisse à désirer. Pour ce qui est de l’entretien des moteurs et de l’avionique, il va de soi que nous n’avons pas pu le vérifier.
Par contre, nous pouvons relater ce qu’il en est des cabines des deux appareils empruntés par les congressistes un boeing et un MCD. Or malgré que nous soyons en fin de sicle de la saison touristique, rien à dire en ce qui concerne les cabines des deux avions.
Si les espaces entre les sièges sont limités, ils ne le sont pas plus que dans bien d’autres compagnies charter. Quant aux fauteuils, tous étaient en parfait état aussi bien de propreté que d’entretien. Contrairement à ce que nous avions pu lire par ailleurs, pas de réparations du type bout de ficelles, pas de fauteuils défoncés.
Quant à la propreté, rien à redire, si ce n’est que dans les coins où la moquette rejoint les cloisons, ce n’était pas impeccable lors du vol aller. En fait, le seul reproche qui pourrait être fait se situe au niveau du personnel de cabine qui n’est pas des plus accueillants, ni souriant.
Les vols
En ce qui concerne la manière dont les vols ont été exécutés, certaines critiques ont été émises pour les opérations d’atterrissage : « Le pilote a plaqué l’avion au sol de manière assez dure », « Au décollage de Bruxelles, lorsque le pilote a viré, il l’a fait de manière assez dure », « Les messages aux passagers étaient en turc et en anglais. Comme peu de passagers de ce vol parle le turc, le premier message est inutile. Quant au second, il était incompréhensible. »
Comme nous l’a rappelé l’un des experts embarqués à bord : « Pour les opérations de décollage et d’atterrissage qui se font assez brutalement, ce ne sont pas toujours la qualité du pilotage des comandants de bords qui doivent être mises en cause. Dans certains cas, les conditions météo ou de vent, les forcent à opérer de manière assez sèche. »
Les tenants des opposants à cette compagnie nous diront peut être que celle-ci a fait un effort particulier pour les participants du congrès. Logique étant donnés la force de vente qu’ils représentent : pensez donc près de 200 professionnels AGV, TO, prestataires de services. Un couac, une panne importante seraient la pire des publicités pour cette compagnie.
C’est peut-être exact, si ce n’est que nous avons déjà voyagé à bord d’appareils de compagnies nationales européennes dont l’état de propreté des cabines laissait totalement à désirer et dont le niveau d’amabilité du crew était plus que déplorable.
Au final et au vu de notre expérience, nous ne comprenons pas très bien les raisons de l’acharnement de certains médias envers Onur Air. Pour nous, il s’agit donc d’une compagnie charter avec un service charter. Ni plus, ni moins.
Et de dire qu’Onur Air est le prototype même de la compagnie aérienne poubelle, que le service à bord est des plus exécrable, que la propreté de l’appareil est douteuses… Pourtant les congressistes belges n’ont pas hésité à embarquer sur un vol de cette compagnie pour rejoindre le lieu de leur grand messe annuelle.
Le choix d’une compagnie aérienne contestée
De deux choses l’une : soit les AGV belges seraient de tendances suicidaires, soit les informations concernant cette compagnie seraient fortement exagérées. Et si l’on observe les fonctions de certains participants, force est de constater que nombre d’entre eux sont des purs professionnels de l’aérien et qui plus est pour certains d’entre eux des concurrents.
Etienne de Nil, vice président à SN Brussels Airlines, Jos De Coninck, également de la même compagnie belge, Eveline Collard d’Etihad, Béatrice Camus de l’aéroport de Liège, Patrick Anspach journaliste spécialisé de l’aérien au quotidien financier L’Echo et Bernard Demonty journaliste en charge de l’aérien du quotidien Le Soir, ne nous ont pas donné l’impression d’être inquiets en montant à bord de l’appareil.
Etienne de Nil déclarant même : « Onur Air n’est pas une compagnie poubelle » Quant à Jean-Luc Hans, président de l’ABTO : «J’ai travaillé de longues années chez deux TO qui utilisent cette compagnie turque : Bosphorus et Mediterra. L’expérience que j’en retire ? Onur est une compagnie charter qui se situe dans la bonne moyenne. Il y en de meilleures comme il y en a de plus mauvaises ».
Et parmi les participants, on retrouve en plus des AGV plusieurs responsables ou propriétaires de TO habitués à analyser la fiabilité des compagnies aériennes. Faut-il rappeler que l’un d’entre eux, Stefan Boone de Best Tours, n’a pas hésité à publier, en son temps, un communiqué d’alerte envers Phuket Airlines. Dans ce communiqué il signalait la dangerosité de cette compagnie aérienne thaïlandaise.
Ce que nous avons pu constater
Qui dit compagnie aérienne poubelle, signifie généralement que l’état d’entretien et de propreté laisse à désirer. Pour ce qui est de l’entretien des moteurs et de l’avionique, il va de soi que nous n’avons pas pu le vérifier.
Par contre, nous pouvons relater ce qu’il en est des cabines des deux appareils empruntés par les congressistes un boeing et un MCD. Or malgré que nous soyons en fin de sicle de la saison touristique, rien à dire en ce qui concerne les cabines des deux avions.
Si les espaces entre les sièges sont limités, ils ne le sont pas plus que dans bien d’autres compagnies charter. Quant aux fauteuils, tous étaient en parfait état aussi bien de propreté que d’entretien. Contrairement à ce que nous avions pu lire par ailleurs, pas de réparations du type bout de ficelles, pas de fauteuils défoncés.
Quant à la propreté, rien à redire, si ce n’est que dans les coins où la moquette rejoint les cloisons, ce n’était pas impeccable lors du vol aller. En fait, le seul reproche qui pourrait être fait se situe au niveau du personnel de cabine qui n’est pas des plus accueillants, ni souriant.
Les vols
En ce qui concerne la manière dont les vols ont été exécutés, certaines critiques ont été émises pour les opérations d’atterrissage : « Le pilote a plaqué l’avion au sol de manière assez dure », « Au décollage de Bruxelles, lorsque le pilote a viré, il l’a fait de manière assez dure », « Les messages aux passagers étaient en turc et en anglais. Comme peu de passagers de ce vol parle le turc, le premier message est inutile. Quant au second, il était incompréhensible. »
Comme nous l’a rappelé l’un des experts embarqués à bord : « Pour les opérations de décollage et d’atterrissage qui se font assez brutalement, ce ne sont pas toujours la qualité du pilotage des comandants de bords qui doivent être mises en cause. Dans certains cas, les conditions météo ou de vent, les forcent à opérer de manière assez sèche. »
Les tenants des opposants à cette compagnie nous diront peut être que celle-ci a fait un effort particulier pour les participants du congrès. Logique étant donnés la force de vente qu’ils représentent : pensez donc près de 200 professionnels AGV, TO, prestataires de services. Un couac, une panne importante seraient la pire des publicités pour cette compagnie.
C’est peut-être exact, si ce n’est que nous avons déjà voyagé à bord d’appareils de compagnies nationales européennes dont l’état de propreté des cabines laissait totalement à désirer et dont le niveau d’amabilité du crew était plus que déplorable.
Au final et au vu de notre expérience, nous ne comprenons pas très bien les raisons de l’acharnement de certains médias envers Onur Air. Pour nous, il s’agit donc d’une compagnie charter avec un service charter. Ni plus, ni moins.