Internet, dit-on souvent, n'est qu'un outil. Certes... mais quel Outil ! Il y a peu de temps encore, on nous expliquait complaisamment que la Toile n'était que de la vente à distance, qu'elle ne servirait jamais qu'à vendre des produits basiques, de la billetterie et quelques autres bricoles.
Mais force est de constater que ceux qui racontaient de telles inepties ne connaissaient rien à la question. Dépassés ou carrément timorés, ils ont commis le pêché d'orgueil se souciant comme d'une guigne du principe de précaution.
Au départ ils prétendaient que le "machin" en question n'était qu'un minitel perfectionné, que les call center devraient in fine prendre le relais pour rassurer un client timoré à l'idée de confier sa carte de crédit à une machine, avec les "risques" que l'on peut imaginer. Et que les mêmes causes produisant les mêmes effets, le coût d'un call center réduirait à néant la marge escomptée au départ.
Internet est au Minitel ce que la 2 CV de papa est à la Ferrari...
Force est aujourd'hui de constater qu'ils se mettaient le doigt dans l'oeil jusqu'au coude. Techniquement et sociologiquement. Pourquoi ? Parce qu'internet est au Minitel ce que la 2 CV de papa est à la Ferrari : toutes deux ont 4 roues... mais la comparaison s'arrête là !
Internet est un outil évolutif, proactif, interactif, réticulaire. Et nous s'en sommes qu'aux prémices de ce que Mac Luhan appelait le Villa planétaire. Le Réseau des Réseau va poursuivre inexorablement sa route car nous entrons dans l'ère du "réel-virtuel", et gare à ceux qui rateraient le train...
Sociologiquement, à l'internaute craintif qui se contentait de s'informer sur la Toile sur les meilleurs tarifs, les bons plans et les pièges à éviter pour partir, a succédé un consommateur avisé qui sait pertinemment qu'il ne court pas plus de risques à confier son précieux sésame à une machine qu'à un commerçant retors et attend tapi la bonne occas !
Bref : là aussi, les Cassandre se sont plantées !
Alors que reste-t-il, me direz-vous ? Je vous répondrais qu'il ne reste pas une minute à perdre. Que faute d'avoir bénéficié d'un "véritable Plan Marshall" internet, d'une information et d'une formation ad oc qui auraient dû être le fer de lance du SNAV au cours des 3 dernières années, vous devrez vous prendre vous-même en charge.
Changez aussi rapidement que possible votre fusil d'épaule
La tâche n'est pas aisée face aux nuages qui s'amoncellent : commission zéro, clientèle attentiste en quête de VDM, concurrence accrûe avec la "simplification" de la Loi de 92, etc. Mais la survie est désormais à ce prix.
Si vous êtes adhérent d'un réseau volontaire, la casse sera limitée, sauf si votre fonds de commerce ne tient que grâce à la billetterie. Mais si vous êtes une agence indépendante, alors changez aussi rapidement que possible votre fusil d'épaule et mettez le paquet sur la vente des forfaits.
Les sites B2B des tour opérateurs (honnêtes) qui poussent comme des champignons, vous permettront de lutter à armes égales en termes de réactivité et de tarifs avec des consommateurs de plus en plus avisés et connaisseurs.
Alors, arrêtez de vous poser des question : il est temps de vous y mettre !
Mais force est de constater que ceux qui racontaient de telles inepties ne connaissaient rien à la question. Dépassés ou carrément timorés, ils ont commis le pêché d'orgueil se souciant comme d'une guigne du principe de précaution.
Au départ ils prétendaient que le "machin" en question n'était qu'un minitel perfectionné, que les call center devraient in fine prendre le relais pour rassurer un client timoré à l'idée de confier sa carte de crédit à une machine, avec les "risques" que l'on peut imaginer. Et que les mêmes causes produisant les mêmes effets, le coût d'un call center réduirait à néant la marge escomptée au départ.
Internet est au Minitel ce que la 2 CV de papa est à la Ferrari...
Force est aujourd'hui de constater qu'ils se mettaient le doigt dans l'oeil jusqu'au coude. Techniquement et sociologiquement. Pourquoi ? Parce qu'internet est au Minitel ce que la 2 CV de papa est à la Ferrari : toutes deux ont 4 roues... mais la comparaison s'arrête là !
Internet est un outil évolutif, proactif, interactif, réticulaire. Et nous s'en sommes qu'aux prémices de ce que Mac Luhan appelait le Villa planétaire. Le Réseau des Réseau va poursuivre inexorablement sa route car nous entrons dans l'ère du "réel-virtuel", et gare à ceux qui rateraient le train...
Sociologiquement, à l'internaute craintif qui se contentait de s'informer sur la Toile sur les meilleurs tarifs, les bons plans et les pièges à éviter pour partir, a succédé un consommateur avisé qui sait pertinemment qu'il ne court pas plus de risques à confier son précieux sésame à une machine qu'à un commerçant retors et attend tapi la bonne occas !
Bref : là aussi, les Cassandre se sont plantées !
Alors que reste-t-il, me direz-vous ? Je vous répondrais qu'il ne reste pas une minute à perdre. Que faute d'avoir bénéficié d'un "véritable Plan Marshall" internet, d'une information et d'une formation ad oc qui auraient dû être le fer de lance du SNAV au cours des 3 dernières années, vous devrez vous prendre vous-même en charge.
Changez aussi rapidement que possible votre fusil d'épaule
La tâche n'est pas aisée face aux nuages qui s'amoncellent : commission zéro, clientèle attentiste en quête de VDM, concurrence accrûe avec la "simplification" de la Loi de 92, etc. Mais la survie est désormais à ce prix.
Si vous êtes adhérent d'un réseau volontaire, la casse sera limitée, sauf si votre fonds de commerce ne tient que grâce à la billetterie. Mais si vous êtes une agence indépendante, alors changez aussi rapidement que possible votre fusil d'épaule et mettez le paquet sur la vente des forfaits.
Les sites B2B des tour opérateurs (honnêtes) qui poussent comme des champignons, vous permettront de lutter à armes égales en termes de réactivité et de tarifs avec des consommateurs de plus en plus avisés et connaisseurs.
Alors, arrêtez de vous poser des question : il est temps de vous y mettre !