Avant d’être nommé vice-président de l’Autorité de régulation des transports (ART), le 5 septembre 2025, Charles Guené, juriste de formation, a d’abord exercé dans le secteur privé comme directeur juridique du groupe de maroquinerie P.J. Guené SA, puis comme avocat fiscaliste.
En parallèle, il a mené une longue carrière politique au niveau local : maire de Vaux-sous-Aubigny pendant plus de trente ans, il a également présidé l’intercommunalité locale jusqu’en 2017, avant de quitter ses fonctions exécutives en application de la loi sur le cumul des mandats.
Élu conseiller général de la Haute-Marne de 1992 à 2011, il a occupé la vice-présidence du département, notamment en charge de l’éducation et des transports scolaires.
En parallèle, il a mené une longue carrière politique au niveau local : maire de Vaux-sous-Aubigny pendant plus de trente ans, il a également présidé l’intercommunalité locale jusqu’en 2017, avant de quitter ses fonctions exécutives en application de la loi sur le cumul des mandats.
Élu conseiller général de la Haute-Marne de 1992 à 2011, il a occupé la vice-présidence du département, notamment en charge de l’éducation et des transports scolaires.
Charles Guené : plus de vingt ans au Sénat
De 2001 à 2023, Charles Guené a représenté la Haute-Marne au Sénat.
Spécialiste des finances publiques, il a été vice-président de la commission des finances et a occupé la vice-présidence du Sénat entre 2011 et 2014.
Il a également participé aux travaux de la délégation sénatoriale aux collectivités territoriales et à la décentralisation.
Depuis juin 2024, il siège au Conseil supérieur de la Cour des comptes. Son entrée à l’ART marque une nouvelle étape de son parcours institutionnel.
Spécialiste des finances publiques, il a été vice-président de la commission des finances et a occupé la vice-présidence du Sénat entre 2011 et 2014.
Il a également participé aux travaux de la délégation sénatoriale aux collectivités territoriales et à la décentralisation.
Depuis juin 2024, il siège au Conseil supérieur de la Cour des comptes. Son entrée à l’ART marque une nouvelle étape de son parcours institutionnel.
L’ART, un régulateur aux compétences élargies
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Créée en 2010 pour encadrer l’ouverture à la concurrence du secteur ferroviaire, l’Autorité de régulation des transports a progressivement vu ses missions s’élargir.
Elle couvre désormais également les activités routières, autoroutières, aéroportuaires et la régulation des données de mobilité.
Le collège de l’ART, présidé par Thierry Guimbaud depuis décembre 2023, se compose de cinq membres indépendants.
Les avis et décisions de l’Autorité visent à garantir un équilibre entre service public et concurrence dans les différents modes de transport.
Elle couvre désormais également les activités routières, autoroutières, aéroportuaires et la régulation des données de mobilité.
Le collège de l’ART, présidé par Thierry Guimbaud depuis décembre 2023, se compose de cinq membres indépendants.
Les avis et décisions de l’Autorité visent à garantir un équilibre entre service public et concurrence dans les différents modes de transport.