Selon les chiffre de l'INSEE, lors de la saison d'hiver de décembre 2016 à mars 2017, la fréquentation, mesurée en nombre de nuitées, progresse dans les hébergements collectifs touristiques métropolitains (+ 1,6 % par rapport à l'hiver précédent).
La région Île-de-France accueille 28,5 % des nuitées hivernales, dont la moitié dans Paris. La fréquentation y progresse vivement (+ 12,4 % par rapport à l’hiver 2015–2016) et efface la baisse d’il y a un an (– 8,3 %), liée aux attentats de novembre 2015 indique l'INSEE.
L'institut constate le retour des clientèles étrangères (+ 14,9 %), un niveau qui reste en deçà des chiffres de la saison 2014-2015 (baisse de 2,0 % sur deux ans).
Dans les stations de ski, les résultats sont en berne, en raison d'une météo défavorable. La baisse des nuitées est très marquée (– 8,9 % par rapport à l’hiver 2015–2016). Selon les massifs des disparités apparaissent : la baisse est relativement modérée (– 3,9 % à – 5,8 %) dans les vallées de la Tarentaise, de la Maurienne et du Mont-Blanc, plus forte dans les autres massifs.
La région Île-de-France accueille 28,5 % des nuitées hivernales, dont la moitié dans Paris. La fréquentation y progresse vivement (+ 12,4 % par rapport à l’hiver 2015–2016) et efface la baisse d’il y a un an (– 8,3 %), liée aux attentats de novembre 2015 indique l'INSEE.
L'institut constate le retour des clientèles étrangères (+ 14,9 %), un niveau qui reste en deçà des chiffres de la saison 2014-2015 (baisse de 2,0 % sur deux ans).
Dans les stations de ski, les résultats sont en berne, en raison d'une météo défavorable. La baisse des nuitées est très marquée (– 8,9 % par rapport à l’hiver 2015–2016). Selon les massifs des disparités apparaissent : la baisse est relativement modérée (– 3,9 % à – 5,8 %) dans les vallées de la Tarentaise, de la Maurienne et du Mont-Blanc, plus forte dans les autres massifs.
Dans les zones urbaines de province, l’activité augmente de 3,1 % (après + 4,5 % à l’hiver 2015–2016). En revanche, la fréquentation se contracte dans l’espace rural (– 0,8 %) et sur le littoral (– 2,2 %), après un hiver 2015–2016 record (respectivement + 7,3 % et + 6,9 %).
En province, le nombre de nuitées diminue de 2,1 %, tiré à la baisse principalement par les stations de ski.
En province, le nombre de nuitées diminue de 2,1 %, tiré à la baisse principalement par les stations de ski.
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Le tourisme ne pèserait plus sur la croissance française en 2017 après avoir coûté 0,2 point en 2016 indique l'INSEE dans sa note de conjoncture de juin 2017.
"Le solde touristique français s’est replié depuis 2014, sous l’effet principalement de la désaffection des touristes étrangers après les attentats de 2015 et 2016. Il a fait perdre 0,2 point de croissance en 2016", indique un communiqué de presse.
Depuis fin 2016, les touristes étrangers reviennent en France, notamment en Île-de-France où le nombre de leurs nuitées en hôtels rebondit. Le tourisme ne pèserait plus sur la croissance en 2017.
"Le solde touristique français s’est replié depuis 2014, sous l’effet principalement de la désaffection des touristes étrangers après les attentats de 2015 et 2016. Il a fait perdre 0,2 point de croissance en 2016", indique un communiqué de presse.
Depuis fin 2016, les touristes étrangers reviennent en France, notamment en Île-de-France où le nombre de leurs nuitées en hôtels rebondit. Le tourisme ne pèserait plus sur la croissance en 2017.