Voyager pour réapprendre à se parler

Alors qu’aujourd’hui moins de la moitié de la population mondiale vit en démocratie, doit-on continuer à voyager ?

Probablement que c’est même une des clés pour tous ceux qui se demandent : “que peut-on y faire ?”. Voyager pour réapprendre à se parler.

Car le grand défi du futur ne sera même pas d'arranger le climat ou de faire ralentir le capitalisme, sinon de réussir à trouver des systèmes dans lesquels les hommes seront capables de résoudre les problèmes communs à toute la planète. Et pour commencer à “mettre en commun” il faut commencer à communiquer et donc aller à la rencontre de ceux qui, au premier abord, semblent différents, et ce, quels que soient les dirigeants des pays visités, leur manque de démocratie ou leurs religions.

Concrètement, comment applique-t-on cette philosophie, dans notre quotidien de Réceptif ? D’abord en privilégiant les rencontres authentiques. Avec des séjours chez l'habitant bien sûr, mais aussi en participant à des projets communautaires, en découvrant l'agriculture durable cubaine, ou en rencontrant les artistes locaux. En tout, en moyenne, une trentaine de Cubains avec qui les voyageurs auront un échange soutenu. Ces rencontres sont inscrites dans des activités originales entièrement conçues par nous :

● L’agriculture durable dans la Finca Tungasuk : immersion dans l'agriculture bio cubaine, échange et déjeuner avec les propriétaires

● Vivre à la campagne avec la famille Pintines : découverte de l'élevage traditionnel du cochon sauvage en semi-liberté dans la Ciénaga de Zapata

● Les cultures et les traditions afro à travers la danse : répétitions de la Compagnie afro-cubaine Folklórico de Camagüey

● Echange et débat avec les Archives Ouvertes : les intellectuels cubains racontent leur version de l'histoire, de la Révolution ou des relations avec les Etats-unis et le reste du monde. La Hiedra

● Rencontrer “un ami à La Havane” : partager un journée ou une soirée avec un Cubain, dans son quartier, dans son quotidien. Aller au marché ou au concert… découvrir la vie des habitants de La Havane, sans filtre. Une mise en condition pour inciter au vrai dialogue.

On entend beaucoup parler de vie rurale et communautaire, d’agriculture diversifiée, d’autonomie énergétique… c'est justement la situation aujourd’hui à Cuba ! Le pays est un vrai laboratoire malgré lui qui nous permet de voir en vrai grandeur certaines alternatives à nos propres sociétés. Une approche "retour à l'essentiel" qui répond aux attentes d'une clientèle en quête de sens. Cuba devient ainsi une destination de choix pour les voyageurs soucieux de développement durable et d'authenticité.

Nous avons toute une gamme d’outils pour faciliter la vente de voyage à Cuba, même pour ceux en panne d’argument.

● E-Visa inclus (22€) fourni systématiquement

● Expertise locale : avec une équipe entre 50 et 100 collaborateurs selon les saisons répartis sur toute l’île.

● Aide à la vente : pour tous les vendeurs pro, un catalogue de prestations online, une équipe dédiée en Europe qui répond à toutes les questions pour faciliter les ventes.

● Des informations détaillées sur toutes nos infrastructures, celles qu’on a testé et qu’on utilise, pas celles sur Google !

● Assistance et conciergerie sur place : Présent mais pas étouffant, les voyageurs conservent leur sensation de voyage en liberté.

● Programmation modulaire et sur-mesure : circuits individuels de 8 à 17 nuits, de 1 à 15 pax, de 789 € à 2295 €.

Depuis 30 ans nous recevons des voyageurs à Cuba. Ils viennent avec leur collègues d’entreprise à travers un incentive, en famille ou en couple selon un programme sur-mesure ; ils viennent aussi marcher, courir, pédaler et même travailler (!), en participant à des projets de développement. Mais tous ces visiteurs de Cuba ont un point commun : ils échangent, participent, ils découvrent un monde… finalement pas si différent du leur.