
L’Etat-actionnaire qui, au plus fort de la crise, à raison ou à tort, n’avait pas levé le petit doigt pour démêler l'embrouillamini Janaillac, donne de nouveau de la voix. A défaut de la montrer... /photo Air France
C’est ce qui s’appelle un faux départ.
En effet, le moins que l’on puisse dire c’est que l’ami Ben démarre son mandat de directeur général d’Air France sur une fausse note…
Bruno Lemaire, ministre de l’Economie, a affirmé ce jeudi matin sur France Info qu’il n’était pas question pour l’Etat français de vendre les 14% d’actions qu’il détient chez Air France.
Un démenti formel aux propos récents du nouveau directeur général.
Bigre ! Voilà qui ressemble fort à une volte-face. Benjamin Smith qui devait croire qu’on l’avait fait venir pour redresser la situation de la compagnie doit en être tout marri. Bienvenu chez “Air Crabe”, la compagnie qui pince…
Il est probable que Ben se pince aussi en se demandant ce qu’il est venu faire dans cette galère.
En effet, les subtilités de la politique syndicale et particulièrement la force de nuisance du SNPL, n’ont pas fini de faire des turbulences. Je vous fiche mon billet que les représentants des pilotes sont déjà montés au créneau pour obtenir des garanties.
En effet, le moins que l’on puisse dire c’est que l’ami Ben démarre son mandat de directeur général d’Air France sur une fausse note…
Bruno Lemaire, ministre de l’Economie, a affirmé ce jeudi matin sur France Info qu’il n’était pas question pour l’Etat français de vendre les 14% d’actions qu’il détient chez Air France.
Un démenti formel aux propos récents du nouveau directeur général.
Bigre ! Voilà qui ressemble fort à une volte-face. Benjamin Smith qui devait croire qu’on l’avait fait venir pour redresser la situation de la compagnie doit en être tout marri. Bienvenu chez “Air Crabe”, la compagnie qui pince…
Il est probable que Ben se pince aussi en se demandant ce qu’il est venu faire dans cette galère.
En effet, les subtilités de la politique syndicale et particulièrement la force de nuisance du SNPL, n’ont pas fini de faire des turbulences. Je vous fiche mon billet que les représentants des pilotes sont déjà montés au créneau pour obtenir des garanties.
L’Etat-actionnaire donne de nouveau de la voix
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L’Etat-actionnaire qui, au plus fort de la crise, à raison ou à tort, n’avait pas levé le petit doigt pour démêler l'embrouillamini Janaillac, donne de nouveau de la voix. A défaut de la montrer...
“Il faut d’abord redresser Air France”, pas question de lâcher l’entreprise en pleine déroute. Blablabla...
Gageons que le crash de la popularité d’Emmanuel Macron et sa rentrée catastrophique soient aussi pour quelque chose dans cette nouvelle posture.
Après toutes les tuiles tombées cet été, une grève générale chez Air France ce serait le pompon.
En tout cas, voilà qui augure mal de la marge de manœuvre de Benjamin Smith à la tête de l’entreprise. Le ton est donné et les syndicats boivent déjà du petit lait. Va y avoir du sport.
Chassez le naturel… il revient au galop !
“Il faut d’abord redresser Air France”, pas question de lâcher l’entreprise en pleine déroute. Blablabla...
Gageons que le crash de la popularité d’Emmanuel Macron et sa rentrée catastrophique soient aussi pour quelque chose dans cette nouvelle posture.
Après toutes les tuiles tombées cet été, une grève générale chez Air France ce serait le pompon.
En tout cas, voilà qui augure mal de la marge de manœuvre de Benjamin Smith à la tête de l’entreprise. Le ton est donné et les syndicats boivent déjà du petit lait. Va y avoir du sport.
Chassez le naturel… il revient au galop !

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