Et oui, c’est la rentrée... étonnant, non ?

Bref, c’est pas la joie et l’idée de retrouver les collègues de bureau... toujours les mêmes tronches déprimées, quoi qu’un peu plus bronzées.

ET je ne vous parle même pas des prochains jours lorsqu’il faudra en outre mettre les moutards sur le chemin de l’école...

Je suis sûr que Léa doit déprimer un max ce matin, après les vacances de rêve passées dans les cyclades avec Nico (LIRE) qui, hélas, va devoir pointer au chomdu cette semaine, après le non renouvellement de son contrat de steward par Easyjet.

Et oui, chez les low cost aussi l’avenir s’affiche de plus en plus en pointillés avec la crise.

La crise, voilà le mot est lâché.

P... on avait failli l’oublier pendant 2 semaines, pour ceux qui ont eu la chance de barrer (et de se barrer loin) la route au tombereau de mauvaises nouvelles que les médias, en manque de sujets à sensation, nous déversent en continu depuis quelques mois.

L’été se passait correctement jusqu’à que ce votre portail préféré révèle que STI était dans la mouise.

Et oui, je sais, il y a maintenant une cata chaque été : l’année dernière on vous apprenait que Thomas Cook avait décidé de faire cavalier seul et de se sucrer sur le dos des producteurs.

Cette année, le spécialiste de l’Egypte, lui, fait face à des “difficultés passagères” pour assumer ses obligations.

Enfin ce sont des choses qu’il vaut mieux savoir à l’avance, même si elles ne sont pas toujours plaisantes et même si parfois on a envie, comme dans la Grèce antique, de zigouiller les oiseaux de mauvais augure.

Bref : souhaitons que STI s’en sorte, que les clients reprennent le chemin des agences, que les TO écoulent leurs stocks, que le nouveau gouvernement arrive à faire baisser le prix de l’essence et à augmenter les salaires... et ben quoi, il n’est pas interdit de rêver, non ?

Bonne rentrée quand même...