Pour le Snav, les salaires sont gelés pour l'année 2014 ! Et comme, du côté des pouvoirs publics, il ne semble pas y avoir de volonté de modifier le cours des choses, la situation pourrait se tendre rapidement © David GALLARD - Fotolia.com
C'est vrai, dès que l'on parle de salaire, c'est le sujet qui fâche.
Si j'en crois ces jolies dames agentes de voyages (je dis ça parce que c'est toujours bien de rêver un peu, je ne les connais pas) qui écrivent dans la presse pro, faut pas trop les gonfler question rétribution.
Les augmentations, pas trop leur truc (enfin, si sûrement, mais leurs boss bigs ou consorts) ça semble pas les motiver grave...
Mais évidemment, dans les TPE ou les PME, une grève, c'est pas bon.
Et là, je vais pas me faire des copains chez leurs patrons, mais de temps en temps, faut quand même rétablir un certain équilibre.
En revanche, il semblerait que certains salariés d'entreprises de tourisme, et non des moindres, commencent à trouver le régime sec un peu saumâtre (je laisse aux puristes le soin d'apprécier la métaphore).
A tel point que chez Carlson Wagonlit Travel (que pour la commodité de l'écriture j'écrirai CWT), on soit légèrement lassé. Pour ne pas dire agacé…
Faut dire quand même que chez cette entité, rien n'est franchement clair.
Si j'en crois ces jolies dames agentes de voyages (je dis ça parce que c'est toujours bien de rêver un peu, je ne les connais pas) qui écrivent dans la presse pro, faut pas trop les gonfler question rétribution.
Les augmentations, pas trop leur truc (enfin, si sûrement, mais leurs boss bigs ou consorts) ça semble pas les motiver grave...
Mais évidemment, dans les TPE ou les PME, une grève, c'est pas bon.
Et là, je vais pas me faire des copains chez leurs patrons, mais de temps en temps, faut quand même rétablir un certain équilibre.
En revanche, il semblerait que certains salariés d'entreprises de tourisme, et non des moindres, commencent à trouver le régime sec un peu saumâtre (je laisse aux puristes le soin d'apprécier la métaphore).
A tel point que chez Carlson Wagonlit Travel (que pour la commodité de l'écriture j'écrirai CWT), on soit légèrement lassé. Pour ne pas dire agacé…
Faut dire quand même que chez cette entité, rien n'est franchement clair.
D'abord, CWT, c'est aussi Havas, si je ne m'abuse, mais comme il devait y avoir rachat du second par le premier depuis quelques années maintenant, mais que tout ça n'est pas encore concrétisé (dites-moi si je me trompe), ce me semble être un beau cloaque.
Or donc, il semble que les syndicats aient quand même, comme c'est le cas dans les entreprises privées, c'est même obligatoire, remis sur le tapis la revalorisation des salaires annuels.
Que tchi, aurait répliqué la direction du groupe et ce, pour la seconde année consécutive.
Seules les augmentations individuelles, basées (mais là je traduis) basées sur la performance et la performance seront envisagées…
Marrant, d'ailleurs, parce que finalement, le distributeur applique à ses salariés ce que réclamait en son temps (depuis il a un peu changé son discours), mon Basque Bondissant favori, chef suprême de TUI France, auprès de la distribution traditionnelle.
Comme quoi, finalement, une recette partie de rien (mais c'était à Rome !) peut faire des émules. Et s'adapter à beaucoup de situations…
Mais, il faut quand même être juste (voyez, chère Elodie)… Dans un pays surtaxé fiscalement (je pèse mes mots), faut quand même pas trop tirer sur le salarié qui bosse.
Et qui a beaucoup de mal à s'en sortir, surtout ceux qui sont au bas de l'échelle.
Or donc, il semble que les syndicats aient quand même, comme c'est le cas dans les entreprises privées, c'est même obligatoire, remis sur le tapis la revalorisation des salaires annuels.
Que tchi, aurait répliqué la direction du groupe et ce, pour la seconde année consécutive.
Seules les augmentations individuelles, basées (mais là je traduis) basées sur la performance et la performance seront envisagées…
Marrant, d'ailleurs, parce que finalement, le distributeur applique à ses salariés ce que réclamait en son temps (depuis il a un peu changé son discours), mon Basque Bondissant favori, chef suprême de TUI France, auprès de la distribution traditionnelle.
Comme quoi, finalement, une recette partie de rien (mais c'était à Rome !) peut faire des émules. Et s'adapter à beaucoup de situations…
Mais, il faut quand même être juste (voyez, chère Elodie)… Dans un pays surtaxé fiscalement (je pèse mes mots), faut quand même pas trop tirer sur le salarié qui bosse.
Et qui a beaucoup de mal à s'en sortir, surtout ceux qui sont au bas de l'échelle.
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Idem pour l'ensemble de la profession. Pour le Snav, les salaires sont gelés pour l'année 2014 !
Et comme, du côté des pouvoirs publics, il ne semble pas y avoir de volonté (mais on est dans des périodes de valses étonnantes, rien n'est joué) de modifier le cours des choses, la situation pourrait se tendre rapidement.
Chez CWT, les syndicats ont décidé de jouer l'appel à la grève. Comme l'écrit mon excellent (ça se dit dans les bons médias) confrère, le mouvement pourrait débuter dès le début de la semaine prochaine.
Chez les agents de voyages, un appel à la grève serait plus difficile, quasi impossible même.
Sans doute pour ça que les syndicats, prudents et pas totalement dingues, ne semblent pas s'y risquer.
Et c'est vrai, c'est loin d'être facile : les marges sont faibles, les charges lourdes, je connais des patrons d'agences qui, eux, ne se payent pas… ou quasiment pas !
Que faire ? Y'a bien la participation, mais question usine à gaz je vous dit pas... Et puis, est-ce bien raisonnable ?
Et comme, du côté des pouvoirs publics, il ne semble pas y avoir de volonté (mais on est dans des périodes de valses étonnantes, rien n'est joué) de modifier le cours des choses, la situation pourrait se tendre rapidement.
Chez CWT, les syndicats ont décidé de jouer l'appel à la grève. Comme l'écrit mon excellent (ça se dit dans les bons médias) confrère, le mouvement pourrait débuter dès le début de la semaine prochaine.
Chez les agents de voyages, un appel à la grève serait plus difficile, quasi impossible même.
Sans doute pour ça que les syndicats, prudents et pas totalement dingues, ne semblent pas s'y risquer.
Et c'est vrai, c'est loin d'être facile : les marges sont faibles, les charges lourdes, je connais des patrons d'agences qui, eux, ne se payent pas… ou quasiment pas !
Que faire ? Y'a bien la participation, mais question usine à gaz je vous dit pas... Et puis, est-ce bien raisonnable ?