Le sujet des prélèvements est devenu quasi tabou pour les TO qu'on a du mal à joindre pour évoquer l'affaire. Même le CETO, (on n'est jamais trahi que par les siens...) après s'être fendu d'un communiqué de presse assassin, fait le "canard"...
Cela pourrait s'apparenter à la quadrature du cercle... mais pas pour Thomas Cook.
En août comme vous le révélait en exclusivité votre portail préféré, le Groupe tentait (réussissait) un véritable coup de poker : facturer d'avance et prélever d'office (LIRE) 1,50% hors taxe du chiffre d’affaires pour le "surcoût lié à la commercialisation de vos produits."
Un coup de bluff magistral qui a sonné les producteurs par son audace.
Il l'avait déjà tenté (et réussi) en Tunisie, auprès des hôteliers. Alors pourquoi changer une méthode qui gagne ?
Et force est de constater que, malgré les cris, l'indignation, les protestations et les menaces, Denis Wathier semble avoir gagné la partie.
Il suffit d'observer la mansuétude générale et la discrétion qui entoure les manoeuvres en coulisses pour s'en convaincre.
En août comme vous le révélait en exclusivité votre portail préféré, le Groupe tentait (réussissait) un véritable coup de poker : facturer d'avance et prélever d'office (LIRE) 1,50% hors taxe du chiffre d’affaires pour le "surcoût lié à la commercialisation de vos produits."
Un coup de bluff magistral qui a sonné les producteurs par son audace.
Il l'avait déjà tenté (et réussi) en Tunisie, auprès des hôteliers. Alors pourquoi changer une méthode qui gagne ?
Et force est de constater que, malgré les cris, l'indignation, les protestations et les menaces, Denis Wathier semble avoir gagné la partie.
Il suffit d'observer la mansuétude générale et la discrétion qui entoure les manoeuvres en coulisses pour s'en convaincre.
Pas question d'aller à la bagarre...
Le sujet est devenu quasi tabou pour les TO qu'on a du mal à joindre pour évoquer l'affaire.
Même le CETO, (on n'est jamais trahi que par les siens...) après s'être fendu d'un communiqué de presse assassin, fait le "canard"...
Bien entendu, l'affaire est vitale pour certains. Pas question d'aller à la bagarre et risquer de fâcher le Réseau. Pour d'aucuns, ceux qui sont (encore) utiles à Thomas Cook, on trouvera un gentleman's agreement.
On remboursera de ci de là et on trouvera de mauvais arrangements plutôt que de bons procès avec les autres.
La morale (?) de tout cela c'est qu'à vouloir miser sur tous les tableaux, le Groupe britannique a peut-être remporté une première bataille en tant que Distributeur, mais aussi rendu un bien mauvais service à ses "collègues" producteurs, en remettant en selle l'ensemble de la Distribution.
Une Distribution qu'il voulait affaiblir coûte que coûte et qu'il pourrait retrouver un jour dans le camp d'en face. L'avenir nous le dira...
Même le CETO, (on n'est jamais trahi que par les siens...) après s'être fendu d'un communiqué de presse assassin, fait le "canard"...
Bien entendu, l'affaire est vitale pour certains. Pas question d'aller à la bagarre et risquer de fâcher le Réseau. Pour d'aucuns, ceux qui sont (encore) utiles à Thomas Cook, on trouvera un gentleman's agreement.
On remboursera de ci de là et on trouvera de mauvais arrangements plutôt que de bons procès avec les autres.
La morale (?) de tout cela c'est qu'à vouloir miser sur tous les tableaux, le Groupe britannique a peut-être remporté une première bataille en tant que Distributeur, mais aussi rendu un bien mauvais service à ses "collègues" producteurs, en remettant en selle l'ensemble de la Distribution.
Une Distribution qu'il voulait affaiblir coûte que coûte et qu'il pourrait retrouver un jour dans le camp d'en face. L'avenir nous le dira...