Malgré ses atouts, Cannes en fait l’expérience avec un congrès mondial d'informaticiens qui ne viendra pas en février au Palais des festivals La firme américaine VMware, pourrait choisir une autre ville européenne et peut être Berlin.
Après Paris en 2006, puis Nice, ce congrès itinérant s’était fixé à Cannes en 2008. Et le congrès avait décidé d’y rester. La dernière édition avait attiré 4 800 participants de quoi remplir l’hôtellerie cannoise.
Il en attendait pour l’édition 2010 près de 7000 de quoi satisfaire le Palais après la disparition de l’édition 2009 du Mipim Horizons qui réintègre le Mipim classique.
Toutefois les organisateurs, faisant jouer habilement la concurrence, auraient exigé de l’hôtellerie cannoise des conditions promotionnelles jugés par les professionnels comme inacceptables.
Après Paris en 2006, puis Nice, ce congrès itinérant s’était fixé à Cannes en 2008. Et le congrès avait décidé d’y rester. La dernière édition avait attiré 4 800 participants de quoi remplir l’hôtellerie cannoise.
Il en attendait pour l’édition 2010 près de 7000 de quoi satisfaire le Palais après la disparition de l’édition 2009 du Mipim Horizons qui réintègre le Mipim classique.
Toutefois les organisateurs, faisant jouer habilement la concurrence, auraient exigé de l’hôtellerie cannoise des conditions promotionnelles jugés par les professionnels comme inacceptables.
De plus en plus de concurrence
Or crise oblige, VMware doit réaliser des économies tout en augmentant la taille de sa manifestation. Et l’offre européenne en structure de congrès est suffisamment large aujourd’hui pour que les organisateurs fassent jouer dans leur intérêt cette concurrence.
On dit même que certaines destinations européennes n’hésitent plus à casser les prix de location des palais des congrès voire de l’offre hôtelière. Pour Cannes, ce départ en février fait écho à la délocalisation du congrès 3GSM, parti à Barcelone en 2005, qui accueille aujourd’hui près de 40.000 participants !
Certes Cannes prospecte mais la situation n’est plus aussi évidente face à la nouvelle donne du tourisme d’affaires en Europe.
On dit même que certaines destinations européennes n’hésitent plus à casser les prix de location des palais des congrès voire de l’offre hôtelière. Pour Cannes, ce départ en février fait écho à la délocalisation du congrès 3GSM, parti à Barcelone en 2005, qui accueille aujourd’hui près de 40.000 participants !
Certes Cannes prospecte mais la situation n’est plus aussi évidente face à la nouvelle donne du tourisme d’affaires en Europe.
