
Sur les 50 escales prévues à Villefranche-sur-Mer entre juillet et décembre, 15 concernent des navires de plus de 2 500 passagers - DepositPhotos.com, LiliGraphie
Christian Estrosi n’a pas changé de cap.
Le président de la métropole ne veut pas accueillir dans la rade de Villefranche-sur-Mer, dès cet été, des paquebots de plus de 2 500 passagers, avec un plafond de 65 escales par an.
Un « compromis » - l'arrêté qu'il avait signé avant de faire machine arrière était encore plus contraignant - qui ne satisfait ni le maire de la cité portuaire Christophe Trojani, ni l’Union Maritime 06, qui ont mandaté la CCI Nice Côte d’Azur pour chiffrer le manque à gagner.
Il est conséquent de 7,5 millions d’euros dès 2025, et jusqu’à 15 millions d’euros en 2026.
Sur les 50 escales prévues à Villefranche entre juillet et décembre, 15 concernent des navires de plus de 2 500 passagers - qui pourraient donc être recalés - si la mesure entrait bien en vigueur.
Le président de la métropole ne veut pas accueillir dans la rade de Villefranche-sur-Mer, dès cet été, des paquebots de plus de 2 500 passagers, avec un plafond de 65 escales par an.
Un « compromis » - l'arrêté qu'il avait signé avant de faire machine arrière était encore plus contraignant - qui ne satisfait ni le maire de la cité portuaire Christophe Trojani, ni l’Union Maritime 06, qui ont mandaté la CCI Nice Côte d’Azur pour chiffrer le manque à gagner.
Il est conséquent de 7,5 millions d’euros dès 2025, et jusqu’à 15 millions d’euros en 2026.
Sur les 50 escales prévues à Villefranche entre juillet et décembre, 15 concernent des navires de plus de 2 500 passagers - qui pourraient donc être recalés - si la mesure entrait bien en vigueur.
Les émissions d’oxyde d’azote sur Nice « en augmentation »
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Malgré cette perte annoncée, Christian Estrosi est resté droit dans ses bottes, s’appuyant sur une étude selon laquelle le secteur maritime représenterait 71% des émissions d’oxyde d’azote sur la commune de Nice, un chiffre qu’il juge alarmant.
« Depuis 2015, les émissions des croisières sont en augmentation de 25% avec des panaches de fumée, tout cela a évidemment des conséquences pour la santé des habitants », a-t-il réagi aux chiffres avancés par la CCI.
Il met aussi en avant sa politique d’accueil de grands événements internationaux, « dont les retombées dépassent largement le chiffre avancé par l’étude de la CCI ».
Le prochain en date : le sommet de l’ONU sur l’océan qui se tiendra à Nice du 9 au 13 juin.
« Depuis 2015, les émissions des croisières sont en augmentation de 25% avec des panaches de fumée, tout cela a évidemment des conséquences pour la santé des habitants », a-t-il réagi aux chiffres avancés par la CCI.
Il met aussi en avant sa politique d’accueil de grands événements internationaux, « dont les retombées dépassent largement le chiffre avancé par l’étude de la CCI ».
Le prochain en date : le sommet de l’ONU sur l’océan qui se tiendra à Nice du 9 au 13 juin.