Les résultats financiers du Club Med se maintiennent en 2014, dans un contexte économique et géopolitique de crise sur deux marchés importants, à savoir la France et la Belgique.
"Club Med a réussi, dans cet environnement difficile, à maintenir sa rentabilité opérationnelle tout en poursuivant sa montée en gamme, ce qui lui a permis d’accélérer le recrutement de nouveaux clients en provenance des pays à croissance rapide et de battre de nouveaux records de satisfaction", a déclaré son PDG, Henri Giscard d’Estaing.
L'activité demeure stable, avec 1,23 million de clients dans les villages clubs, qui réalisent un chiffre d’affaires à taux de change constant de 1,376 M€ (+0,2% par rapport à 2013).
"Club Med a réussi, dans cet environnement difficile, à maintenir sa rentabilité opérationnelle tout en poursuivant sa montée en gamme, ce qui lui a permis d’accélérer le recrutement de nouveaux clients en provenance des pays à croissance rapide et de battre de nouveaux records de satisfaction", a déclaré son PDG, Henri Giscard d’Estaing.
L'activité demeure stable, avec 1,23 million de clients dans les villages clubs, qui réalisent un chiffre d’affaires à taux de change constant de 1,376 M€ (+0,2% par rapport à 2013).
L'activité tirée par les marchés asiatique et américain
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Le chiffre d'affaires est soutenu par les bonnes performances de la zone Amériques, en croissance de 6,7%, tirée par le Brésil, les Etats-Unis et le Canada.
Mais aussi par la zone Asie, en progression de 2,2%, malgré la baisse du nombre de clients chinois à destination des villages de la Malaisie et de la Thaïlande (catastrophes aériennes, troubles géopolitiques).
En revanche, donc, la zone Europe-Afrique affiche une baisse de 1,5% de son chiffre d’affaires, principalement due au recul de la France, impactée par la crise économique et un environnement fiscal contraint et la Belgique, les troubles géopolitiques affectant les destinations d’Afrique du Nord et du Moyen-Orient.
A noter que la capacité a été ajustée de 2,1% au niveau mondial.
En Europe-Afrique, la réduction de capacité atteint -6,7%, suite à la sortie définitive des villages 3 Tridents d’El Gouna (Egypte) et d’Hammamet (Tunisie), mais aussi la fermeture temporaire du village managé de Sinaï Bay (Egypte) et la non réouverture du village de Belek (Turquie).
En revanche, en Asie, la capacité est en croissance de 12,2% avec les ouvertures en Chine du village de Guilin à pleine capacité et de l’espace 5 Tridents de Dong’ao Island.
Mais aussi par la zone Asie, en progression de 2,2%, malgré la baisse du nombre de clients chinois à destination des villages de la Malaisie et de la Thaïlande (catastrophes aériennes, troubles géopolitiques).
En revanche, donc, la zone Europe-Afrique affiche une baisse de 1,5% de son chiffre d’affaires, principalement due au recul de la France, impactée par la crise économique et un environnement fiscal contraint et la Belgique, les troubles géopolitiques affectant les destinations d’Afrique du Nord et du Moyen-Orient.
A noter que la capacité a été ajustée de 2,1% au niveau mondial.
En Europe-Afrique, la réduction de capacité atteint -6,7%, suite à la sortie définitive des villages 3 Tridents d’El Gouna (Egypte) et d’Hammamet (Tunisie), mais aussi la fermeture temporaire du village managé de Sinaï Bay (Egypte) et la non réouverture du village de Belek (Turquie).
En revanche, en Asie, la capacité est en croissance de 12,2% avec les ouvertures en Chine du village de Guilin à pleine capacité et de l’espace 5 Tridents de Dong’ao Island.
Un résultat net à -9M€
Le résultat net pointe toujours à -9M€, "affecté par des facteurs exceptionnels, dont 13M€ de coûts de fermeture / sortie de villages non stratégiques et 6M€ d’autres coûts exceptionnels", précise Club Med dans un communiqué.
En 2015, la poursuite de la montée en gamme, "conjuguée à la baisse significative des coûts non récurrents liés à la sortie de villages non stratégiques, devrait permettre au Club Med de dégager, à niveau d’activité équivalent, un résultat net positif", a conclu Henri Giscard d’Estaing.
En 2015, la poursuite de la montée en gamme, "conjuguée à la baisse significative des coûts non récurrents liés à la sortie de villages non stratégiques, devrait permettre au Club Med de dégager, à niveau d’activité équivalent, un résultat net positif", a conclu Henri Giscard d’Estaing.
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