Le tribunal de commerce de Barcelone a émis un avertissement pénal à l'encontre de Ryanair - Depositphotos @graphicube
C'est une guerre médiatique qui change de dimension.
Depuis quelques mois, Ryanair ne cesse communiqué de presse après communiqué de presse d'attaquer eDreams ODIGEO.
"Cela prouve que l'abonnement « Prime » d'eDreams n'est qu'une nouvelle escroquerie de la part d'eDreams, qui trompe les consommateurs en leur faisant payer un abonnement annuel « Prime » sur la fausse promesse de « réductions sur 100 % de vos vols », tout en utilisant des majorations cachées pour créer des « réductions » fictives afin de masquer le fait qu'ils surfacturent les tarifs aériens aux clients, comme l'a confirmé l'enquête OTA Pirate de juin de Ryanair," explique par exemple une communication de la low cost.
Ces attaques sont passées un cran au-dessus, puisque l'agence de voyages en ligne (OTA) a décidé de saisir les tribunaux.
Le tribunal de commerce de Barcelone a émis un avertissement pénal à Ryanair, "pour non-respect de l'injonction du tribunal de cesser de dénigrer eDreams ODIGEO et son programme d’abonnement Prime."
Depuis quelques mois, Ryanair ne cesse communiqué de presse après communiqué de presse d'attaquer eDreams ODIGEO.
"Cela prouve que l'abonnement « Prime » d'eDreams n'est qu'une nouvelle escroquerie de la part d'eDreams, qui trompe les consommateurs en leur faisant payer un abonnement annuel « Prime » sur la fausse promesse de « réductions sur 100 % de vos vols », tout en utilisant des majorations cachées pour créer des « réductions » fictives afin de masquer le fait qu'ils surfacturent les tarifs aériens aux clients, comme l'a confirmé l'enquête OTA Pirate de juin de Ryanair," explique par exemple une communication de la low cost.
Ces attaques sont passées un cran au-dessus, puisque l'agence de voyages en ligne (OTA) a décidé de saisir les tribunaux.
Le tribunal de commerce de Barcelone a émis un avertissement pénal à Ryanair, "pour non-respect de l'injonction du tribunal de cesser de dénigrer eDreams ODIGEO et son programme d’abonnement Prime."
eDreams ODIGEO vs Ryanair : que dit le tribunal ?
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Une action qui s'inscrit sur une autre décision ayant imposé "mesures provisoires urgentes" à l'encontre de la low cost, au début de l'été.
Elle ne doit donc plus dénigrer l'OTA dans ses communiqués de presse, ainsi que son programme Prime.
Le tribunal juge que les allégations de dénigrement de Ryanair sont finalement "campagne parfaitement organisée visant à promouvoir le site web de Ryanair pour la réservation de vols et les services associés."
Il affirme aussi qu'eDreams est légalement autorisée à distribuer des vols Ryanair dans le cadre de son offre, en exerçant son rôle légitime d'agent de voyage.
Dans le même temps, en juillet dernier, le tribunal régional de Berlin en Allemagne Berlin a estimé "que les frais de service de 3,88 euros facturés par eDreams étaient excessifs et donc illégaux".
Il a aussi accordé à Ryanair une injonction à injonction contre les conditions générales d'eDreams Prime, qui offrent une réduction à hauteur de la valeur de l'adhésion annuelle à eDreams Prime. Une décision qui met selon la low cost en lumière "la publicité mensongère d'eDreams Prime".
Elle ne doit donc plus dénigrer l'OTA dans ses communiqués de presse, ainsi que son programme Prime.
Le tribunal juge que les allégations de dénigrement de Ryanair sont finalement "campagne parfaitement organisée visant à promouvoir le site web de Ryanair pour la réservation de vols et les services associés."
Il affirme aussi qu'eDreams est légalement autorisée à distribuer des vols Ryanair dans le cadre de son offre, en exerçant son rôle légitime d'agent de voyage.
Dans le même temps, en juillet dernier, le tribunal régional de Berlin en Allemagne Berlin a estimé "que les frais de service de 3,88 euros facturés par eDreams étaient excessifs et donc illégaux".
Il a aussi accordé à Ryanair une injonction à injonction contre les conditions générales d'eDreams Prime, qui offrent une réduction à hauteur de la valeur de l'adhésion annuelle à eDreams Prime. Une décision qui met selon la low cost en lumière "la publicité mensongère d'eDreams Prime".