
les plateformes collaboratives et comparateurs devront donner plus de précisions sur leurs critères de choix et classements - photo libre de droit
A partir du 1er janvier 2018, les plateformes valorisant ou comparant les contenus, biens et services de tiers seront astreint à différentes règles de transparence.
Trois décrets ont été publiés au Journal Officiel (JO) le 29 septembre 2017.
Ils fixent des obligations concernant les critères de référencement, de choix et de classement des site, les liens de rémunération éventuels et les avis en ligne des consommateurs.
Les plateformes numériques concernées pourront être par exemple des comparateurs, des place de marchés ou sites d'économie collaborative.
Ils devront préciser les critères de référencement et de classement des produits qu'ils proposent, et préciser s'il y a un lien entre le classement et une rémunération éventuelle.
Trois décrets ont été publiés au Journal Officiel (JO) le 29 septembre 2017.
Ils fixent des obligations concernant les critères de référencement, de choix et de classement des site, les liens de rémunération éventuels et les avis en ligne des consommateurs.
Les plateformes numériques concernées pourront être par exemple des comparateurs, des place de marchés ou sites d'économie collaborative.
Ils devront préciser les critères de référencement et de classement des produits qu'ils proposent, et préciser s'il y a un lien entre le classement et une rémunération éventuelle.
De nouvelles obligations
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Les plateformes mettant en concurrence professionnels et particuliers devront indiquer la qualité du vendeur.
Il sera obligatoire de fournir le montant des frais de mise en relation entre vendeur et acheteur et d'indiquer s'il existe un droit de rétractation, une garantie légale de conformité ou des modalités de règlement des litiges.
Les avis de consommateurs sont eux aussi soumis à des contrôles : chaque site concerné devra indiquer si les profils et avis ont été vérifiés et sur quels critères.
Enfin, à partir du 1er janvier 2019, les plateformes et sites les plus importants (+ de 5 millions de visiteurs uniques par mois) devront appliquer et publier en ligne des bonnes pratiques en matière de clarté, transparence et loyauté.
Selon Mounir Mahjoubi, secrétaire d’État auprès du premier ministre chargé du Numérique, "le numérique ne doit pas être régi par la loi du plus fort. Il ajoute : "La France assume ainsi pleinement l’ambition de faire de l’espace numérique un lieu où les principes d’équité et de loyauté sont respectés."
Il sera obligatoire de fournir le montant des frais de mise en relation entre vendeur et acheteur et d'indiquer s'il existe un droit de rétractation, une garantie légale de conformité ou des modalités de règlement des litiges.
Les avis de consommateurs sont eux aussi soumis à des contrôles : chaque site concerné devra indiquer si les profils et avis ont été vérifiés et sur quels critères.
Enfin, à partir du 1er janvier 2019, les plateformes et sites les plus importants (+ de 5 millions de visiteurs uniques par mois) devront appliquer et publier en ligne des bonnes pratiques en matière de clarté, transparence et loyauté.
Selon Mounir Mahjoubi, secrétaire d’État auprès du premier ministre chargé du Numérique, "le numérique ne doit pas être régi par la loi du plus fort. Il ajoute : "La France assume ainsi pleinement l’ambition de faire de l’espace numérique un lieu où les principes d’équité et de loyauté sont respectés."