Même si les problèmes des deux producteurs allemands ne relèvent pas tout à fait des mêmes causes, force est de reconnaître que la méthode germanique a du mal à passer.
Management français ou pas, les diktats économiques des actionnaires, les turn over brutaux ou les changements de stratégie commandés par le revenu par action, cadrent mal avec la french way of life.
On comprend bien entendu, la « douleur » des investisseurs qui ont racheté une petite fortune le réseau Havas, avant d’en changer de nom et de se faire piquer la marque par l’ennemi juré.
On passe par pertes et profits les avatars des présidences successives, le succès commerciaux mitigés et les alliances stratégiques qui chamboulent les périmètres. Ce sont des péripéties normales dans la vie d’une entreprise.
Mais aujourd’hui c’est de la survie du réseau dont il est question. Et une fois de plus, les actionnaires ont tranché dans le vif, virant un président et un DG qui avaient insufflé à l’entreprise un semblant de dynamisme. Et là, bien malin qui pourrait expliquer aux salariés la logique économique de leur Groupe…
Management français ou pas, les diktats économiques des actionnaires, les turn over brutaux ou les changements de stratégie commandés par le revenu par action, cadrent mal avec la french way of life.
On comprend bien entendu, la « douleur » des investisseurs qui ont racheté une petite fortune le réseau Havas, avant d’en changer de nom et de se faire piquer la marque par l’ennemi juré.
On passe par pertes et profits les avatars des présidences successives, le succès commerciaux mitigés et les alliances stratégiques qui chamboulent les périmètres. Ce sont des péripéties normales dans la vie d’une entreprise.
Mais aujourd’hui c’est de la survie du réseau dont il est question. Et une fois de plus, les actionnaires ont tranché dans le vif, virant un président et un DG qui avaient insufflé à l’entreprise un semblant de dynamisme. Et là, bien malin qui pourrait expliquer aux salariés la logique économique de leur Groupe…
Les périmètres actuels pourraient changer brutalement
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Dans la boutique d’en face on pédale aussi dans la choucroute… Les mandataires qui ont accepté en échange d’une marque prestigieuse de toucher moins de commission, se plaignent d’une enseigne qui se délite, d’atteintes à l’exclusivité de leur contrat… bref d’être les dindons de la farce !
Force est de constater que Nouvelles Frontières, ne fait plus rêver. La démocratisation du voyage, le rachat par TUI, le départ du « père-fondateur », le vieillissement des générations… autant de raisons qui ont eu raison de l’« emblématisme » de ce fleuron.
Loi impitoyable des séries : le Chik a porté un coup très dur à la filiale CorsairFly et, partant, impacté la maison-mère.
Le Groupe de Hanovre qui avait imaginé il y a 3 ans le lancement d’un nouveau tour opérateur, en est aujourd’hui pour ses frais. TUI France créé pour développer le pseudo-potentiel des non partants, n’a pas suffisamment tenu compte de la donne existante. Manque d’originalité des produits, déficit de communication... autant de raisons qui ont signé l’échec de la marque dont on se demande combien de mois il lui reste encore à vivre.
Avec les méga alliances conclues avec leurs alter egos britanniques (FirstChoice et MyTravel), les semaines et les mois à venir devraient nous réserver encore quelques surprises de taille. Les périmètres actuels pourraient changer brutalement et les fusions s’accélérer.
L’homme en forme du moment est incontestablement Hervé Vighier, patron de Marmara, qui vient de prendre aussi la présidence de Tourinter. Gageons qu’il pourrait jouer un rôle de premier plan dans ce qu’il est convenu d’appeler l’aube du new deal de la production hexagonale…
Force est de constater que Nouvelles Frontières, ne fait plus rêver. La démocratisation du voyage, le rachat par TUI, le départ du « père-fondateur », le vieillissement des générations… autant de raisons qui ont eu raison de l’« emblématisme » de ce fleuron.
Loi impitoyable des séries : le Chik a porté un coup très dur à la filiale CorsairFly et, partant, impacté la maison-mère.
Le Groupe de Hanovre qui avait imaginé il y a 3 ans le lancement d’un nouveau tour opérateur, en est aujourd’hui pour ses frais. TUI France créé pour développer le pseudo-potentiel des non partants, n’a pas suffisamment tenu compte de la donne existante. Manque d’originalité des produits, déficit de communication... autant de raisons qui ont signé l’échec de la marque dont on se demande combien de mois il lui reste encore à vivre.
Avec les méga alliances conclues avec leurs alter egos britanniques (FirstChoice et MyTravel), les semaines et les mois à venir devraient nous réserver encore quelques surprises de taille. Les périmètres actuels pourraient changer brutalement et les fusions s’accélérer.
L’homme en forme du moment est incontestablement Hervé Vighier, patron de Marmara, qui vient de prendre aussi la présidence de Tourinter. Gageons qu’il pourrait jouer un rôle de premier plan dans ce qu’il est convenu d’appeler l’aube du new deal de la production hexagonale…