A très bientôt sur nos lignes !
Nous vous avons accompagné jusqu'à cette fin juillet et Dieu sait (hélas), que nous n'avons pas manqué d'ouvrage.
Rarement mois de juillet avait été aussi "chaud bouillant". On en a eu des sueurs froides...
Pas un bouton de guêtre n'a manqué : des compagnies qui crashaient brutalement laissant leurs passagers sur le tarmac aux horribles attentats de Londres et de Charm el Cheikh, en passant par l'ouragan qui a mis Cancun cul par dessus tête.
"Y-a-t'il quelqu'un là haut qui ne nous aime pas ?" On serait en droit de se poser la question, tant les dernières années ont été calamiteuses pour la profession. Pourtant, il faut rester optimistes. Jamais le tourisme dans le monde ne s'est si bien porté. L'industrie des loisirs et son irrésistible ascension a de quoi mettre du baume au coeur à un dépressif profond.
Ne parlons pas d'Internet qui poursuit sa folle croissance géométrique et qui, au risque de nous répéter, constitue une véritable chance pour la profession.
Un touriste "résistant" face à la bêtise et à la haine extrémiste
Bien entendu, le monde (heureusement) change et les consommateurs changent et s'adaptent avec lui. Et si les nouveaux modes consuméristes en constante mutation déstabilisent, les mentalités se forgent et les caractères se trempent.
Le voyageur n'est plus ce moineau effarouché qui au moindre attentat décampe et délaisse à jamais une destination. Mieux informé, il veut donner du sens à ses vacances, se rendre utile et, pourquoi pas, mettre la main à la truelle pour creuser un puits ou dresser un mur.
Le formidable élan de solidarité post tsunami a révélé un nouveau touriste "solidaire" face à la détresse d'autrui . Un touriste "résistant" face à la bêtise et à la haine extrémiste. De quoi donner espoir et courage à toute une profession.
Sur ces bonnes paroles, nous allons essayer, avec le portable dans nos bagages, de ne pas confondre "écran total" et plein écran.
Bonnes vacances à tous et... à très bientôt sur nos lignes !
Rarement mois de juillet avait été aussi "chaud bouillant". On en a eu des sueurs froides...
Pas un bouton de guêtre n'a manqué : des compagnies qui crashaient brutalement laissant leurs passagers sur le tarmac aux horribles attentats de Londres et de Charm el Cheikh, en passant par l'ouragan qui a mis Cancun cul par dessus tête.
"Y-a-t'il quelqu'un là haut qui ne nous aime pas ?" On serait en droit de se poser la question, tant les dernières années ont été calamiteuses pour la profession. Pourtant, il faut rester optimistes. Jamais le tourisme dans le monde ne s'est si bien porté. L'industrie des loisirs et son irrésistible ascension a de quoi mettre du baume au coeur à un dépressif profond.
Ne parlons pas d'Internet qui poursuit sa folle croissance géométrique et qui, au risque de nous répéter, constitue une véritable chance pour la profession.
Un touriste "résistant" face à la bêtise et à la haine extrémiste
Bien entendu, le monde (heureusement) change et les consommateurs changent et s'adaptent avec lui. Et si les nouveaux modes consuméristes en constante mutation déstabilisent, les mentalités se forgent et les caractères se trempent.
Le voyageur n'est plus ce moineau effarouché qui au moindre attentat décampe et délaisse à jamais une destination. Mieux informé, il veut donner du sens à ses vacances, se rendre utile et, pourquoi pas, mettre la main à la truelle pour creuser un puits ou dresser un mur.
Le formidable élan de solidarité post tsunami a révélé un nouveau touriste "solidaire" face à la détresse d'autrui . Un touriste "résistant" face à la bêtise et à la haine extrémiste. De quoi donner espoir et courage à toute une profession.
Sur ces bonnes paroles, nous allons essayer, avec le portable dans nos bagages, de ne pas confondre "écran total" et plein écran.
Bonnes vacances à tous et... à très bientôt sur nos lignes !