1,8 milliard d’euros investis dans la mobilité en Provence-Alpes-Côte d’Azur d’ici 2030 - Depositphotos.com Auteur ELEPHOTOS
				 
			 
					 Le 3 novembre 2025, à Marseille, le ministre des Transports [Philippe Tabarot]urlurlblank:https://www.linkedin.com/in/philippe-tabarot-51b45497/?originalSubdomain=fr, le préfet Georges-François Leclerc, le président de la Région Provence-Alpes-Côte d’Azur Renaud Muselier et la présidente de la Métropole Aix-Marseille-Provence Martine Vassal ont signé le volet mobilité du Contrat de Plan État-Région (CPER) 2021-2027. 
					 
					 
					 
Ce nouvel avenant porte à 1,8 milliard d’euros les investissements publics consacrés aux transports dans la région Sud, avec un accent sur la préparation des Jeux d’hiver 2030 et la modernisation des réseaux du quotidien.
					 
					 
L’avenant signé le 3 novembre vise à renforcer les infrastructures de transport dans l’ensemble des six départements de la région Provence-Alpes-Côte d’Azur.
					 
					 
A lire aussi : Des JO 2030 durables ? "Les promesses sont intenables !"
			 Ce nouvel avenant porte à 1,8 milliard d’euros les investissements publics consacrés aux transports dans la région Sud, avec un accent sur la préparation des Jeux d’hiver 2030 et la modernisation des réseaux du quotidien.
L’avenant signé le 3 novembre vise à renforcer les infrastructures de transport dans l’ensemble des six départements de la région Provence-Alpes-Côte d’Azur.
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Trois priorités structurent ce plan
					 Trois priorités structurent ce plan. La première concerne le désenclavement des Alpes, doté de 532 millions d’euros, avec la modernisation de la ligne Marseille–Briançon, la rénovation des gares et la sécurisation des grands axes routiers. L’objectif est de répondre à la hausse de la demande de transport attendue pour 2030 et de renforcer durablement la connectivité du territoire alpin.
					 
					 
					 
La deuxième priorité, à hauteur de 210 millions d’euros, vise à améliorer la desserte routière de la zone industrialo-portuaire de Fos et de l’étang de Berre, notamment via le contournement de Martigues–Port-de-Bouc et la liaison Fos–Salon.
					 
					 
Enfin, plus d’un milliard d’euros sont dédiés à la modernisation des transports du quotidien : rénovation des petites lignes ferroviaires (Nice–Breil, Coni–Vintimille, Nice–Digne), requalification de gares, aménagement de pistes cyclables et développement du fret ferroviaire.
			 La deuxième priorité, à hauteur de 210 millions d’euros, vise à améliorer la desserte routière de la zone industrialo-portuaire de Fos et de l’étang de Berre, notamment via le contournement de Martigues–Port-de-Bouc et la liaison Fos–Salon.
Enfin, plus d’un milliard d’euros sont dédiés à la modernisation des transports du quotidien : rénovation des petites lignes ferroviaires (Nice–Breil, Coni–Vintimille, Nice–Digne), requalification de gares, aménagement de pistes cyclables et développement du fret ferroviaire.
Une déclinaison départementale pour les Bouches-du-Rhône
					 Parallèlement, la convention d’application du CPER pour le département des Bouches-du-Rhône engage près de 900 millions d’euros. Ce volet local réunit l’État, la Région, la Métropole Aix-Marseille-Provence et le Département.
					 
					 
					 
Les projets prioritaires incluent la régénération de la ligne de la Côte Bleue, la création du pôle d’échanges multimodal d’Arles, la modernisation de la branche d’Aix de la ligne des Alpes, et le développement du fret ferroviaire à Fos, Arles et Miramas. D’autres chantiers concernent la poursuite du plan « Escales Zéro Fumée » dans le port Marseille-Fos et la création d’une filière d’éolien off-shore.
					 
					 
Pour Philippe Tabarot, « cet avenant constitue un investissement sans précédent pour les transports dans notre région », affirmant que « l’État est au rendez-vous » pour soutenir la transformation des infrastructures. Renaud Muselier souligne de son côté que « les projets sont pour la plupart déjà en phase opérationnelle » et répondent « aux besoins concrets des habitants ».
					 
					 
Enfin, Martine Vassal a salué « une coopération entre collectivités qui fait avancer le territoire », notamment autour des enjeux de mobilité et de qualité de vie dans la zone industrialo-portuaire.
			 Les projets prioritaires incluent la régénération de la ligne de la Côte Bleue, la création du pôle d’échanges multimodal d’Arles, la modernisation de la branche d’Aix de la ligne des Alpes, et le développement du fret ferroviaire à Fos, Arles et Miramas. D’autres chantiers concernent la poursuite du plan « Escales Zéro Fumée » dans le port Marseille-Fos et la création d’une filière d’éolien off-shore.
Pour Philippe Tabarot, « cet avenant constitue un investissement sans précédent pour les transports dans notre région », affirmant que « l’État est au rendez-vous » pour soutenir la transformation des infrastructures. Renaud Muselier souligne de son côté que « les projets sont pour la plupart déjà en phase opérationnelle » et répondent « aux besoins concrets des habitants ».
Enfin, Martine Vassal a salué « une coopération entre collectivités qui fait avancer le territoire », notamment autour des enjeux de mobilité et de qualité de vie dans la zone industrialo-portuaire.





 
			 

					 
						 
					 
					 
					 
					 
					 
					 
					 
					 
					 
					 
					 
					 
					 
					 
					 
					 
					 
					 
					 
					 
					 
					 
					 
					 
					 
 
				 









