Marco Vasco a lancé en septembre dernier un chatbot via Messenger, l’application de messagerie de Facebook, pour effectuer un premier tri des candidatures. - Marco Vasco
En janvier dernier, Amplitudes a organisé son premier job dating à Toulouse.
L’agence recherchait alors 35 candidats. Le président, José Martinez, 8 managers et 34 candidats pré-sélectionnés se sont rencontrés.
L’occasion pour la direction de détailler les postes aux candidats et de présenter l’entreprise. Pour les postulants, le job dating est également l'opportunité d’établir un premier contact avec les managers.
A l’issue de l’événement, 18 candidats ont été retenus pour passer un second entretien et poursuivre le processus de recrutement.
10 ont finalement été embauchés. Elodie Monteil, responsable des ressources humaines chez Amplitudes, en tire un bilan « très satisfaisant ».
Outre l’efficacité de la démarche, organiser un tel événement a plusieurs points positifs. « C’est moderne en termes d’image. C’est un gain de temps, ça permet de dynamiser la marque employeur. La presse, la télévision et la radio locales ont parlé de nous », affirme Elodie Monteil.
Marco Vasco a lancé son quatrième « Talent Cocktail » mi-juin pour recruter des conseillers de vente. D’ici la fin de l’année, le TO recrutera une vingtaine de collaborateurs en CDI.
Pour Rémi Campet, secrétaire général de Marco Vasco, « c’est l’occasion de faire se rencontrer des candidats potentiels et l’équipe, dans un cadre plutôt sympa.
En juin dernier, on a eu une affluence record, avec 70 personnes. Se déplacer est un acte impliquant les profils sont plus motivés. En interne, c’est un événement qui permet de fédérer. »
L’agence recherchait alors 35 candidats. Le président, José Martinez, 8 managers et 34 candidats pré-sélectionnés se sont rencontrés.
L’occasion pour la direction de détailler les postes aux candidats et de présenter l’entreprise. Pour les postulants, le job dating est également l'opportunité d’établir un premier contact avec les managers.
A l’issue de l’événement, 18 candidats ont été retenus pour passer un second entretien et poursuivre le processus de recrutement.
10 ont finalement été embauchés. Elodie Monteil, responsable des ressources humaines chez Amplitudes, en tire un bilan « très satisfaisant ».
Outre l’efficacité de la démarche, organiser un tel événement a plusieurs points positifs. « C’est moderne en termes d’image. C’est un gain de temps, ça permet de dynamiser la marque employeur. La presse, la télévision et la radio locales ont parlé de nous », affirme Elodie Monteil.
Marco Vasco a lancé son quatrième « Talent Cocktail » mi-juin pour recruter des conseillers de vente. D’ici la fin de l’année, le TO recrutera une vingtaine de collaborateurs en CDI.
Pour Rémi Campet, secrétaire général de Marco Vasco, « c’est l’occasion de faire se rencontrer des candidats potentiels et l’équipe, dans un cadre plutôt sympa.
En juin dernier, on a eu une affluence record, avec 70 personnes. Se déplacer est un acte impliquant les profils sont plus motivés. En interne, c’est un événement qui permet de fédérer. »
Identifier de nouveaux profils
Verdié Voyages a tenté le format du job dating : un entretien de quelques minutes entre un candidat et un recruteur sans passer par la case CV.
« En novembre, nous avons organisé un job dating à Rodez. Nous avons sollicité notre cvthèque. Plus de 80 personnes des départements alentours y ont participé. Nous avons recruté à l’issue sur plusieurs postes.
Et notamment des gens que l’on n’aurait peut-être pas retenus spontanément sur CV. C’est une opération que nous renouvellerons », explique Céline Bonnet, responsable RH chez Verdié Voyages.
« Le job dating permet de trouver de super profils, des gens que l’on n'aurait pas casté par des annonces classiques », confirme Elodie Monteil. L'occasion de rencontrer de jeunes diplômés de manière informelle, et de présenter ses différentes activités et sa politique RH.
Golden Tulip a ouvert le 14 juin dernier un « Job Casting », afin de trouver de nouveaux talents pour son établissement de Bordeaux.
« En novembre, nous avons organisé un job dating à Rodez. Nous avons sollicité notre cvthèque. Plus de 80 personnes des départements alentours y ont participé. Nous avons recruté à l’issue sur plusieurs postes.
Et notamment des gens que l’on n’aurait peut-être pas retenus spontanément sur CV. C’est une opération que nous renouvellerons », explique Céline Bonnet, responsable RH chez Verdié Voyages.
« Le job dating permet de trouver de super profils, des gens que l’on n'aurait pas casté par des annonces classiques », confirme Elodie Monteil. L'occasion de rencontrer de jeunes diplômés de manière informelle, et de présenter ses différentes activités et sa politique RH.
Golden Tulip a ouvert le 14 juin dernier un « Job Casting », afin de trouver de nouveaux talents pour son établissement de Bordeaux.
Un chatbot pour pré-sélectionner les candidats
Rémi Campet, secrétaire général de Marco Vasco. - Marco Vasco
Marco Vasco a lancé en septembre dernier un chatbot via Messenger, l’application de messagerie de Facebook. « Un outil innovant pour recruter différemment et sortir du schéma classique CV et lettre de motivation complexe pour les candidats et les recruteurs. Le temps de traitement est plus rapide », note Rémi Campet.
Le tour-opérateur a alors imaginé une manière différente d’accès à la première étape du recrutement en mettant à dispo des candidats un bot disponible sur Messenger.
« Cela nous permet d’aller chercher de nouvelles générations de candidats, jeunes, là où ils se trouvent : sur les réseaux sociaux, en particulier Facebook », souligne Rémi Campet.
Concrètement, via Messenger le candidat entre en contact avec « Marco » pour passer un premier entretien. Plusieurs épreuves l'attendent.
A partir de deux photos, le candidat va devoir se filmer et décrire des photos. Un exercice pour tester son aisance orale, sa capacité à se montrer inspirant.
Le but de ces épreuves est de voir les choses différemment. S’il va au bout de la démarche, cela traduira sa motivation. En interne, les équipes analysent les résultats, avant de le recontacter pour un entretien.
Initialement conçu pour les postes de conseillers de voyages, l’outil attire différents profils, notamment dans le domaine du marketing.
Seulement cinq personnes ont été embauchées depuis septembre via ce biais. « Ce n’est pas là où nous avons fait nos plus gros volumes de recrutement, mais c’est un ratio qui nous convient. C’est également un outil qui permet de nous faire connaître », justifie Rémi Campet.
Depuis sa mise en service, plusieurs milliers de connexions ont été enregistrées sur le chatbot. Une centaine de candidatures sont allées au bout du processus.
Le tour-opérateur a alors imaginé une manière différente d’accès à la première étape du recrutement en mettant à dispo des candidats un bot disponible sur Messenger.
« Cela nous permet d’aller chercher de nouvelles générations de candidats, jeunes, là où ils se trouvent : sur les réseaux sociaux, en particulier Facebook », souligne Rémi Campet.
Concrètement, via Messenger le candidat entre en contact avec « Marco » pour passer un premier entretien. Plusieurs épreuves l'attendent.
A partir de deux photos, le candidat va devoir se filmer et décrire des photos. Un exercice pour tester son aisance orale, sa capacité à se montrer inspirant.
Le but de ces épreuves est de voir les choses différemment. S’il va au bout de la démarche, cela traduira sa motivation. En interne, les équipes analysent les résultats, avant de le recontacter pour un entretien.
Initialement conçu pour les postes de conseillers de voyages, l’outil attire différents profils, notamment dans le domaine du marketing.
Seulement cinq personnes ont été embauchées depuis septembre via ce biais. « Ce n’est pas là où nous avons fait nos plus gros volumes de recrutement, mais c’est un ratio qui nous convient. C’est également un outil qui permet de nous faire connaître », justifie Rémi Campet.
Depuis sa mise en service, plusieurs milliers de connexions ont été enregistrées sur le chatbot. Une centaine de candidatures sont allées au bout du processus.
Publié par Caroline Lelievre
