Entre janvier et septembre 2025, le tourisme international a enregistré plus de 1,1 milliard d’arrivées, soit 32 millions de visiteurs supplémentaires par rapport à 2024.
Les performances dépassent également de 3 % les niveaux de 2019, traduisant une demande soutenue malgré une inflation persistante dans les services touristiques et un climat géopolitique instable. Le troisième trimestre a progressé de 4 %, porté par une saison estivale très dynamique dans l’hémisphère Nord.
Les données de l’IATA montrent un trafic aérien international en hausse de 7 % et une capacité en progression de 6 %, tandis que le taux d’occupation mondial des hébergements s’établit à 68 %, un niveau équivalent à celui de 2024.
Les performances dépassent également de 3 % les niveaux de 2019, traduisant une demande soutenue malgré une inflation persistante dans les services touristiques et un climat géopolitique instable. Le troisième trimestre a progressé de 4 %, porté par une saison estivale très dynamique dans l’hémisphère Nord.
Les données de l’IATA montrent un trafic aérien international en hausse de 7 % et une capacité en progression de 6 %, tandis que le taux d’occupation mondial des hébergements s’établit à 68 %, un niveau équivalent à celui de 2024.
Régions en progression, destinations en forte hausse et dépenses en augmentation
Si la dynamique mondiale est positive, les résultats 2025 révèlent des trajectoires régionales très variées.
L’Afrique confirme son rôle de moteur avec une progression exceptionnelle de 10 %, portée par l’Afrique du Nord (+11 %) et l’Afrique subsaharienne (+10 %). L’Europe, qui reste la première région touristique mondiale, enregistre 625 millions d’arrivées (+4 %), soutenue par une saison estivale particulièrement active.
Les performances y demeurent toutefois hétérogènes : l’Europe occidentale et la Méditerranée méridionale avancent respectivement de 5 % et 3 %, tandis que l’Europe du Nord recule légèrement. À l’inverse, l’Europe centrale et orientale poursuit son rebond (+8 %), même si la région reste en retrait par rapport à 2019.
Dans les Amériques, la croissance atteint 2 %, avec de fortes disparités : l’Amérique du Sud affiche une hausse notable de 9 %, alors que l’Amérique du Nord recule, pénalisée par une baisse des arrivées aux États-Unis et au Canada. L’Asie-Pacifique progresse de 8 % et revient progressivement vers ses niveaux pré-pandémie, portée par l’Asie du Nord-Est (+17 %).
Le Moyen-Orient continue d’afficher les résultats les plus élevés par rapport à 2019, avec une croissance de 33 % au-dessus des niveaux d’avant-crise.
Plusieurs destinations se distinguent par des augmentations spectaculaires, comme le Brésil (+45 %), le Viet Nam et l’Égypte (+21 % chacun), ou encore l’Éthiopie, le Japon (+18 %) et le Maroc (+14 %).
Les recettes suivent la même tendance, avec de fortes progressions au Japon (+21 %), au Nicaragua (+19 %), en Égypte (+18 %) ou en France (+9 %). Ensemble, ces résultats confirment que 2025 se dirige vers une année en ligne avec les prévisions de croissance d’ONU Tourisme, malgré un environnement marqué par des coûts de voyage élevés et des tensions géopolitiques persistantes.
À lire aussi : Été 2025 : une saison moribonde pour les agences de voyages
L’Afrique confirme son rôle de moteur avec une progression exceptionnelle de 10 %, portée par l’Afrique du Nord (+11 %) et l’Afrique subsaharienne (+10 %). L’Europe, qui reste la première région touristique mondiale, enregistre 625 millions d’arrivées (+4 %), soutenue par une saison estivale particulièrement active.
Les performances y demeurent toutefois hétérogènes : l’Europe occidentale et la Méditerranée méridionale avancent respectivement de 5 % et 3 %, tandis que l’Europe du Nord recule légèrement. À l’inverse, l’Europe centrale et orientale poursuit son rebond (+8 %), même si la région reste en retrait par rapport à 2019.
Dans les Amériques, la croissance atteint 2 %, avec de fortes disparités : l’Amérique du Sud affiche une hausse notable de 9 %, alors que l’Amérique du Nord recule, pénalisée par une baisse des arrivées aux États-Unis et au Canada. L’Asie-Pacifique progresse de 8 % et revient progressivement vers ses niveaux pré-pandémie, portée par l’Asie du Nord-Est (+17 %).
Le Moyen-Orient continue d’afficher les résultats les plus élevés par rapport à 2019, avec une croissance de 33 % au-dessus des niveaux d’avant-crise.
Plusieurs destinations se distinguent par des augmentations spectaculaires, comme le Brésil (+45 %), le Viet Nam et l’Égypte (+21 % chacun), ou encore l’Éthiopie, le Japon (+18 %) et le Maroc (+14 %).
Les recettes suivent la même tendance, avec de fortes progressions au Japon (+21 %), au Nicaragua (+19 %), en Égypte (+18 %) ou en France (+9 %). Ensemble, ces résultats confirment que 2025 se dirige vers une année en ligne avec les prévisions de croissance d’ONU Tourisme, malgré un environnement marqué par des coûts de voyage élevés et des tensions géopolitiques persistantes.
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