Ménages + de 55 ans : 40% du marché total tourisme
Ils emporteront avec eux l’exigence de leurs nouveaux standards. Ils désirent à minima, de les y retrouver sur leur site de vacances, pour vivre une « vie rêvée », débarrassée du quotidien et de ses contraintes.
Ils se mettent à l’abri des dégradations réelles ou supposées de leurs cadres de vie habituels en découvrant pour le temps d’un séjour un environnement parfait et diversifié à chaque voyage.
Le patrimoine, facteur d’authenticité et de diversité
La moyenne d’âge des européens est supérieure à 40 ans, ce qui ne s’était jamais observé à une telle échelle de toute l’histoire de l’humanité.
Selon les prévisions du groupe Xerfi, spécialisé dans les études économiques sectorielles, à l'horizon 2012, la consommation des ménages de plus de 55 ans en services liés au tourisme représentera près de 40% du marché total.
Beaucoup ont vécu 1 500 jours de vacances depuis l’âge de 15 ans (à raison de cinq semaines de congés par an), soit quatre années, sans compter les week-ends.
Après avoir consommé plusieurs destinations similaires en Méditerranée, ils cherchent des vacances originales. Ils acceptent la mondialisation à la condition qu’elle soit diverse.
L’authenticité locale est sans aucun doute une piste à suivre, car chaque culture locale est unique et différente de ses voisines.
La Méditerranée dispose d’un patrimoine exceptionnel, sur toutes ses rives, dans ses zones urbaines, rurales, montagneuses ou désertiques.
C’est une source inépuisable de diversité. Il reste à remettre en lumière son histoire et ses traditions millénaires, ses fêtes, l’art de vivre méditerranéen, ses cuisines, la priorité donnée au site et à la « pleine nature », matière première du tourisme, et les offrir au monde.
L’hébergeur se retrouvera au centre de cet effort, surtout les petits, autorisant l’échange interculturel entre le touriste itinérant et l’hébergeur résident.
Il faudra s’organiser, trouver des financements pour la mise aux normes d’aujourd’hui, résoudre le problème de la distribution électronique des offres touristiques de petite taille dans des lieux isolés, faciliter l’emploi actif de la population locale dans le management de tous les jours, y associer la société civile et les autorités administratives, ce qui ne sera pas la tâche la plus facile.
Quelques pionniers se lancent dans cette nouvelle définition d’un tourisme plus éthique en Méditerranée.
Le marketing de l’offre perd de son importance, au profit d’un marketing de la demande, prenant le plus grand compte des nouvelles motivations des clients, en leur proposant un mode de vacances plutôt qu’un lieu de vacances...
La Mediterranean Travel Association s’engage à favoriser la multiplication de ces types d’offre essentiels pour le futur du tourisme méditerranéen, comme à assister les efforts entrepris par les offres plus classiques, dans leur nécessaire mise aux normes.
Ils se mettent à l’abri des dégradations réelles ou supposées de leurs cadres de vie habituels en découvrant pour le temps d’un séjour un environnement parfait et diversifié à chaque voyage.
Le patrimoine, facteur d’authenticité et de diversité
La moyenne d’âge des européens est supérieure à 40 ans, ce qui ne s’était jamais observé à une telle échelle de toute l’histoire de l’humanité.
Selon les prévisions du groupe Xerfi, spécialisé dans les études économiques sectorielles, à l'horizon 2012, la consommation des ménages de plus de 55 ans en services liés au tourisme représentera près de 40% du marché total.
Beaucoup ont vécu 1 500 jours de vacances depuis l’âge de 15 ans (à raison de cinq semaines de congés par an), soit quatre années, sans compter les week-ends.
Après avoir consommé plusieurs destinations similaires en Méditerranée, ils cherchent des vacances originales. Ils acceptent la mondialisation à la condition qu’elle soit diverse.
L’authenticité locale est sans aucun doute une piste à suivre, car chaque culture locale est unique et différente de ses voisines.
La Méditerranée dispose d’un patrimoine exceptionnel, sur toutes ses rives, dans ses zones urbaines, rurales, montagneuses ou désertiques.
C’est une source inépuisable de diversité. Il reste à remettre en lumière son histoire et ses traditions millénaires, ses fêtes, l’art de vivre méditerranéen, ses cuisines, la priorité donnée au site et à la « pleine nature », matière première du tourisme, et les offrir au monde.
L’hébergeur se retrouvera au centre de cet effort, surtout les petits, autorisant l’échange interculturel entre le touriste itinérant et l’hébergeur résident.
Il faudra s’organiser, trouver des financements pour la mise aux normes d’aujourd’hui, résoudre le problème de la distribution électronique des offres touristiques de petite taille dans des lieux isolés, faciliter l’emploi actif de la population locale dans le management de tous les jours, y associer la société civile et les autorités administratives, ce qui ne sera pas la tâche la plus facile.
Quelques pionniers se lancent dans cette nouvelle définition d’un tourisme plus éthique en Méditerranée.
Le marketing de l’offre perd de son importance, au profit d’un marketing de la demande, prenant le plus grand compte des nouvelles motivations des clients, en leur proposant un mode de vacances plutôt qu’un lieu de vacances...
La Mediterranean Travel Association s’engage à favoriser la multiplication de ces types d’offre essentiels pour le futur du tourisme méditerranéen, comme à assister les efforts entrepris par les offres plus classiques, dans leur nécessaire mise aux normes.
