Alors qu'un rapport publié le 2 août 2012 révèle que le secteur a deux fois plus recours au travail au noir que la moyenne, l'Umih, principale organisation patronale de l'Hôtellerie-restauration annonce qu'elle devrait signer, en septembre 2012, un accord avec les salariés pour lutter contre ces fraudes.
L'Acoss, banque de la sécurité sociale, dans son enquête, souligne que 7,3% des entreprises françaises ne déclareraient pas certains de leurs employés. Au total 2,4% des salariés seraient ainsi dissimulés.
Mais, dans le secteur des cafés, des hôtels et des restaurants, ce taux monte jusqu'à 6% ! C'est pourquoi, l'Umih a tenu, dans un communiqué, à rappeler "que la lutte contre le travail illégal est une nécessité pour les entreprises et les salariés du secteur."
Le syndicat envisage également la mise en place d'un observatoire de suivi de lutte contre le travail au noir.
L'Acoss, banque de la sécurité sociale, dans son enquête, souligne que 7,3% des entreprises françaises ne déclareraient pas certains de leurs employés. Au total 2,4% des salariés seraient ainsi dissimulés.
Mais, dans le secteur des cafés, des hôtels et des restaurants, ce taux monte jusqu'à 6% ! C'est pourquoi, l'Umih a tenu, dans un communiqué, à rappeler "que la lutte contre le travail illégal est une nécessité pour les entreprises et les salariés du secteur."
Le syndicat envisage également la mise en place d'un observatoire de suivi de lutte contre le travail au noir.
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