Une plage de Byblos
Après des années de troubles, le tourisme redémarre au Liban. Près de deux millions de touristes ont découvert le charme de Beyrouth et du reste du pays en 2009.
Entre le 1er janvier et le 31 août 2010, le pays a enregistré 97 844 arrivées touristiques françaises, soit une hausse de 14% par rapport à la même période de l’année précédente. Ce qui place le marché hexagonal à la troisième place mondiale, derrière l’Arabie Saoudite et la Jordanie.
De bons chiffres qui encouragent l’office du Tourisme à poursuivre ses efforts.
« Nous voulons maintenir cette croissance dans les années à venir », précise Fadi Abboud, le ministre du Tourisme libanais, à Paris à l’occasion de Top Résa.
« Nous allons multiplier les contacts avec les professionnels du tourisme et nous lancerons une campagne de promotion à destination du grand public pour l’été 2011 ».
Entre le 1er janvier et le 31 août 2010, le pays a enregistré 97 844 arrivées touristiques françaises, soit une hausse de 14% par rapport à la même période de l’année précédente. Ce qui place le marché hexagonal à la troisième place mondiale, derrière l’Arabie Saoudite et la Jordanie.
De bons chiffres qui encouragent l’office du Tourisme à poursuivre ses efforts.
« Nous voulons maintenir cette croissance dans les années à venir », précise Fadi Abboud, le ministre du Tourisme libanais, à Paris à l’occasion de Top Résa.
« Nous allons multiplier les contacts avec les professionnels du tourisme et nous lancerons une campagne de promotion à destination du grand public pour l’été 2011 ».
70 % des voyageurs ne visitent que Beyrouth
Fadi Abboud, le ministre du Tourisme libanais
Après la capitale française, l’homme politique se rendra à Londres et dans d’autres salons professionnels en Europe pour sa stratégie BtoB.
Le Liban aimerait voir davantage de voyageurs étrangers venir sur son territoire par l’intermédiaire des TO.
Aujourd’hui, « seuls 3% des touristes viennent au Liban en achetant un package d’un tour-opérateur », précise le ministre.
70 % des voyageurs ne visitent que Beyrouth. Pour changer la donne, les projets se multiplient. Un centre d’affaire devrait ouvrir ses portes dans deux ans à proximité de la capitale.
Le ministère s’engage dans le tourisme rural en mettant en avant le savoir-faire et l’authenticité des villages libanais.
Autre projet : l’Etat a lancé une réforme de la classification de l’hôtellerie.
D’ici à 5 ans, une nouvelle classification aux standards internationaux « plus justes » sera mise en place. D’autant plus important que le pays devrait passer de 22 000 chambres d’hôtel à 50 000 dans 5 ans.
Le Liban aimerait voir davantage de voyageurs étrangers venir sur son territoire par l’intermédiaire des TO.
Aujourd’hui, « seuls 3% des touristes viennent au Liban en achetant un package d’un tour-opérateur », précise le ministre.
70 % des voyageurs ne visitent que Beyrouth. Pour changer la donne, les projets se multiplient. Un centre d’affaire devrait ouvrir ses portes dans deux ans à proximité de la capitale.
Le ministère s’engage dans le tourisme rural en mettant en avant le savoir-faire et l’authenticité des villages libanais.
Autre projet : l’Etat a lancé une réforme de la classification de l’hôtellerie.
D’ici à 5 ans, une nouvelle classification aux standards internationaux « plus justes » sera mise en place. D’autant plus important que le pays devrait passer de 22 000 chambres d’hôtel à 50 000 dans 5 ans.