Le tourisme peine à trouver des échos au niveau des gouvernements.
Malgré son poids dans l'économie, que ce soit au niveau national et la France en est le bon exemple, le secteur du voyage n'est pas pris au sérieux par les élus.
Une nouvelle preuve de ce triste constat, la fin de l'intergroupe "Tourisme durable" au Parlement Européen. Après 5 ans d'activité, le groupe de travail des eurodéputés a pris fin, mais les organes de représentation de l'industrie réclament son retour.
De la CLIA à l'ECTAA, en passant par IAAPA, l'ensemble des acteurs souhaite une reprise de l'intergroupe.
Malgré son poids dans l'économie, que ce soit au niveau national et la France en est le bon exemple, le secteur du voyage n'est pas pris au sérieux par les élus.
Une nouvelle preuve de ce triste constat, la fin de l'intergroupe "Tourisme durable" au Parlement Européen. Après 5 ans d'activité, le groupe de travail des eurodéputés a pris fin, mais les organes de représentation de l'industrie réclament son retour.
De la CLIA à l'ECTAA, en passant par IAAPA, l'ensemble des acteurs souhaite une reprise de l'intergroupe.
Ce dernier a travaillé sur des multiples sujets : la gestion des visas et des frontières, la durabilité, la numérisation, l’économie des plateformes, l’alimentation, la santé, la protection des consommateurs, la taxe de tourisme, l’accessibilité, etc.
Le secteur compte sur "le soutien du commissaire désigné pour le marché intérieur, Thierry Breton" selon un communiqué de presse pour le rétablissement de l'intergroupe, afin de pouvoir traiter les nouveaux défis du toursime (tourisme de masse peu durable, l'émergence de nouveaux acteurs).
Le secteur compte sur "le soutien du commissaire désigné pour le marché intérieur, Thierry Breton" selon un communiqué de presse pour le rétablissement de l'intergroupe, afin de pouvoir traiter les nouveaux défis du toursime (tourisme de masse peu durable, l'émergence de nouveaux acteurs).