II. Des évolutions dans l’organisation de la mise en marché
Le contexte organisationnel particulier de la mise en marché de la production France met en évidence la mainmise des structures territoriales institutionnelles. En dépit de cette importante présence, cela n’a pas permis dans chaque destination :
- de constituer un catalogue commercial représentatif de la totalité des hébergements et des offres loisirs disponibles avec une actualisation des données effectuée en temps réel
- de centraliser une gestion opérationnelle des réseaux organisés de distribution particulièrement à l’échelle européenne.
En résumé : une production France très partielle avec une distribution peu développée sur les réseaux externes (plateformes web, agences de voyages, tour-opérateurs) …
Les ingrédients d’une nécessaire réorganisation des processus de mise en marché. Pour la période qui va suivre, certains prétendront que dans l’incapacité d’appréhender avec certitude nos lendemains, il est préférable de continuer comme avant.
L’habitude pour ces destinations touristiques, ancrées dans des stratégies anciennes consiste à exploiter leurs centrales de réservation ou leurs places de marché comme un canal prioritaire de vente, même en période de forte demande.
Les services de réservation des destinations sont aujourd’hui principalement basés sur ce modèle économique dont on sait qu’il ne répond plus ni aux attentes ni des professionnels locaux ni à celles des marchés.
D’autres destinations chercheront sans trop tarder, à engager des réflexions pour préparer leurs après-demain. Sans être prophètes, elles devront imaginer, étudier, anticiper les orientations et les dispositions à prendre pour affronter la très difficile et longue période de repositionnement et de relance des activités touristiques.
On perçoit, sans certitude aucune, que l’on se dirige rapidement vers des modèles économiques nouveaux et très évolutifs. Il nous faut, à l’aune des récents et nombreux soubresauts, comprendre ces évolutions, imaginer,décrire et anticiper les modalités d’application de nouveaux modes de fonctionnements que nous allons peu à peu découvrir et devoir prendre en compte.
- de constituer un catalogue commercial représentatif de la totalité des hébergements et des offres loisirs disponibles avec une actualisation des données effectuée en temps réel
- de centraliser une gestion opérationnelle des réseaux organisés de distribution particulièrement à l’échelle européenne.
En résumé : une production France très partielle avec une distribution peu développée sur les réseaux externes (plateformes web, agences de voyages, tour-opérateurs) …
Les ingrédients d’une nécessaire réorganisation des processus de mise en marché. Pour la période qui va suivre, certains prétendront que dans l’incapacité d’appréhender avec certitude nos lendemains, il est préférable de continuer comme avant.
L’habitude pour ces destinations touristiques, ancrées dans des stratégies anciennes consiste à exploiter leurs centrales de réservation ou leurs places de marché comme un canal prioritaire de vente, même en période de forte demande.
Les services de réservation des destinations sont aujourd’hui principalement basés sur ce modèle économique dont on sait qu’il ne répond plus ni aux attentes ni des professionnels locaux ni à celles des marchés.
D’autres destinations chercheront sans trop tarder, à engager des réflexions pour préparer leurs après-demain. Sans être prophètes, elles devront imaginer, étudier, anticiper les orientations et les dispositions à prendre pour affronter la très difficile et longue période de repositionnement et de relance des activités touristiques.
On perçoit, sans certitude aucune, que l’on se dirige rapidement vers des modèles économiques nouveaux et très évolutifs. Il nous faut, à l’aune des récents et nombreux soubresauts, comprendre ces évolutions, imaginer,décrire et anticiper les modalités d’application de nouveaux modes de fonctionnements que nous allons peu à peu découvrir et devoir prendre en compte.