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Laos : j’ai testé la croisière Rivages du Monde à bord du R/V Champa Pandaw 4*

14 cabines, un bar-restaurant, des excursions quotidiennes, des rencontres avec les habitants


Rivages du Monde propose de découvrir les « splendeurs du Laos » en remontant le Mékong à bord d’un bateau en bois de seulement 14 cabines. Au charme de cette croisière francophone s’ajoute le plaisir de s’immerger dans un monde entre ciel et eau, empreint de douceur de vivre.


Rédigé par le Mercredi 3 Décembre 2025

Petit bateau de 14 cabines, le R/V Champa Pandaw 4* peut accoster à peu près partout au bord du Mékong - Photo : PB
Petit bateau de 14 cabines, le R/V Champa Pandaw 4* peut accoster à peu près partout au bord du Mékong - Photo : PB
Comment ne pas avoir un coup de cœur ? Luang Prabang reste auréolée de son passé quasiment mythique d'ancienne capitale royale du Laos.

Et son centre historique affiche un mélange d’architecture traditionnelle et d’architecture européenne coloniale du XIXe et du XXe si exceptionnel qu’il a été classé en 1995 au Patrimoine mondial de l’Unesco.

Sa géographie - sublime - fait le reste : dominée par des collines verdoyantes, cette ville de 20 000 habitants (75 000 dans le district) se blottit dans un méandre du Mékong, tandis que son centre historique se niche au bout de la péninsule qu'il forme avec son affluent, la rivière Nam Khan.

Au petit matin, le paysage se dissout dans la brume, qui le rend terriblement romantique.

Logiquement, Luang Prabang est l’un des points forts des « Splendeurs du Laos » que fait découvrir la croisière à bord du R/V Champa Pandaw 4* proposée par Rivages du Monde.

Le parcours qui relie Vientiane, l’actuelle capitale du Laos, et Chang Rai, en Thaïlande, peut se réaliser dans les deux sens.


A Luang Prabang, le charme opère toujours

Blottie au bord du Mékong et son affluent, la rivière Nam Khan, Luang Prabang doit pour partie son charme à sa géographie orgueilleuse - Photo : PB
Blottie au bord du Mékong et son affluent, la rivière Nam Khan, Luang Prabang doit pour partie son charme à sa géographie orgueilleuse - Photo : PB
Lors de la croisière testée par TourMaG, le parcours débutait à Vientiane.

Nous sommes donc arrivés à Luang Prabang, après avoir navigué plusieurs jours en remontant le Mékong à contre-courant.

Dotée d’un aéroport international, prise d’assaut par les touristes du monde entier, et tout particulièrement les Chinois, l'ancienne capitale royale du Laos désormais peuplée d’innombrables guest-houses et restaurants, surprend de prime abord : elle semble bel et bien être devenue le « spot touristique » dénoncé par un récent rapport de l’Unesco qui épinglait un développement trop rapide, la destruction de constructions traditionnelles et l’étiolement des traditions culturelles.

Très vite cependant, son charme opère.

Sur le fleuve, les barques à la proue élancée continuent de glisser paresseusement et les petits pêcheurs de lancer leurs filets depuis leur longue pirogue traditionnelle.

Sur les marchés, les étals regorgent toujours de riz, de nouilles cuites, de légumes, de fruits tropicaux colorés, de poissons, de vanneries, de vêtements...

Dans les rues, des échoppes proposent vêtements et artisanat mais aussi soupes, raviolis, sautés de viande aux légumes et autres spécialités.

35 monastères qui sont lieux de culte, lieux de vie et écoles

A Luang Prabang, les porteuses traditionnelles voisinent avec les voitures et les motos - Photo : PB
A Luang Prabang, les porteuses traditionnelles voisinent avec les voitures et les motos - Photo : PB
Si, à Luang Prabang, il n’est pas rare de voir au milieu des motos et des autos des femmes portant sur leur épaule, la traditionnelle perche en bambou avec deux paniers suspendus aux extrémités, il est encore plus fréquent de croiser des moines en robe orange vif devant des bâtiments à colonnades blanchis à la chaux.

Rien d'étonnant : la ville compte encore 35 monastères. Et, le bouddhisme continue d'irriguer les modes de vie et la culture des Laotiens, ou du moins de ceux de l’ethnie principale, les Lao Loum (encore appelés Laotiens des plaines).

Ceux-ci suivent le bouddhisme de l’école Theravāda - encore appelée « petit véhicule » - qui est aussi celui du Tibet, du Cambodge et de la Thaïlande.

Cependant, les bouddhistes laotiens s’inspirent parfois, aussi, des rites et croyances animistes, majoritaires dans les ethnies peuplant les montagnes du nord du pays.

De vraies merveilles d’architecture religieuse

Tout comme les touristes, les moines sacrifient parfois au rite des photos ! Ici, devant le Vat Xieng Thong à Luang Prabang - Photo : PB
Tout comme les touristes, les moines sacrifient parfois au rite des photos ! Ici, devant le Vat Xieng Thong à Luang Prabang - Photo : PB
Une chose est sûre : à Luang Prabang, les monastères - ils sont à la fois lieux de culte, lieux de vie pour les moines et écoles pour les novices - sont de vraies merveilles d’architecture religieuse.

Le Vat Visoun, qui est le plus ancien temple en activité, a été édifié au tout début du XVIe siècle sous le règne du roi Visunarat tandis que le Vat Xieng Thong a été fondé vers 1560 par Sitthathirat, un des plus grands rois du « royaume du million d’éléphants », l’ancien nom du Laos.

Le Vat Visoun abrite un grand bouddha en stuc recouvert de feuilles d’or et une impressionnante collection de bouddhas debout. Il se fait remarquer aussi par son stupa, dit « de la pastèque », en raison de son dôme arrondi.

L’élégant Vat Xieng Thong protège un immense Bouddha assis entouré d'offrandes et de statues, ainsi que le char funéraire des anciens rois du Laos.

C’est l’un des temples les plus somptueux de Luang Prabang : sa toiture à plans superposés descend très bas, sa façade dorée à fond rouge est richement décorée, ses piliers carrés et noirs sont ornés de décorations précieuses dorées au pochoir, ses portes de bois sculpté témoignent des épopées du Ramayana. Enfin, ses murs arrière portent de fines mosaïques de verre coloré, dont l’une représente l’Arbre de vie.

Plus récent puisqu’édifié fin XVIIIe est le Vat Mai, situé près du marché de nuit et du Palais Royal.

Lui aussi est coiffé d'une impressionnante toiture à cinq pans surmontée de trois parasols. Sa façade dorée, décorée de scènes inspirées du Ramayana, est réputée être l’un des plus beaux exemples d’ornementation religieuse de la ville.

A l’occasion du Nouvel An, le Vat Mai expose à la vénération des foules l’emblème mystique du Laos, le Phra Bang, un bouddha recouvert de feuilles d’or qui est alors amené du Palais royal voisin selon un rite immémorial.

Une cérémonie des offrandes très encadrée

Les moines partent en quête des offrandes avant de commencer leur journée de prières dans leurs monastères - Photo : PB
Les moines partent en quête des offrandes avant de commencer leur journée de prières dans leurs monastères - Photo : PB
Cette concentration de temples, alliée à la présence de nombreux moines, dit la ferveur religieuse qui anime toujours ce pays.

En témoigne aussi la cérémonie de l'aumône - appelée Tak Bat - qui a lieu chaque matin dans les rues de Luang Prabang : vers 6h, les moines sortent en procession, portant leurs bols pour recueillir les offrandes dont ils vivent.

C’est d'habitude une cérémonie très touchante, empreinte de dévotion et de spiritualité.

Cependant, à Luang Prabang, l’affluence des touristes est désormais telle qu’il a fallu la canaliser : les DMC par lesquels doivent passer les opérateurs étrangers - Rivages du Monde n’échappe pas à la règle - ont donc mis en place une organisation millimétrée à destination des visiteurs étrangers.

Dans la grande rue par laquelle passent les moines, les touristes sont installés sur des chaises en plastique et se voient remettre un récipient plein de riz gluant cuit à distribuer aux hommes en robe safran.

Cela évite les bousculades mais enlève toute spontanéité à sa « participation » à cette cérémonie. C'est dommage, mais est-il encore possible de faire autrement ?

Vientiane, capitale encore authentique

Séance photo au Phatouxay, à Vientiane - Photo : PB
Séance photo au Phatouxay, à Vientiane - Photo : PB
Quel que soit l’attrait de Luang Prabang, la foule que l'on y croise conduit par moment à regretter Vientiane.

En effet, la croisière Rivages du Monde testée par TourMaG a été précédée par une découverte de la verdoyante et spacieuse actuelle capitale laotienne qui, avec son million d’habitants, n'a pas la fébrilité des grandes métropoles asiatiques d'aujourd'hui.

Sur place, l’hébergement des croisiéristes de Rivages du Monde était organisé à l’hôtel Double Tree by Hilton, un 4 étoiles très agréable, avec, pour les plus chanceux, une chambre dans les étages supérieurs avec vue sur le Mékong. Un panorama éblouissant au lever comme au coucher du soleil !

Les deux jours passés sur place ont d'abord permis de faire la connaissance de Sara, la dynamique directrice de croisière.

Tout au long du voyage, cette habituée du Mékong va se démener pour que l’expérience promise soit la plus exceptionnelle possible.

Il lui reviendra aussi de faire oublier de rares - mais inévitables - petits couacs, comme le remplacement de la guide chevronnée prévue initialement à Vientiane - mais in fine indisponible - par un guide débutant. Ou encore, à Luang Prabang, la fermeture du Musée national (il est installé dans l'ancien Palais Royal) annoncée au dernier moment.

Les éprouvantes guerres du XXe siècle

A Vientiane, dans le parc Xieng Khouan, un impressionnant Bouddha couché - Photo : PB
A Vientiane, dans le parc Xieng Khouan, un impressionnant Bouddha couché - Photo : PB
A Vientiane, en deux jours, les voyageurs ont l'opportunité de faire de nombreuses visites : deux temples - Si Saket et Si Muang-, le musée Phra Keo, le quartier des tisserands, le marché de nuit au bord du Mékong - sans oublier de profiter de la cuisine savoureuse de plusieurs restaurants, de grimper en haut du Phatouxay, l’arc de triomphe érigé à partir de 1958 à la mémoire des victimes de la guerre et de filer en excursion jusqu’au Xieng Khouan, le « parc des Bouddhas ».

Comme son nom l’indique, ce parc abrite dans une belle verdure, un nombre considérable de statues de Siddhārtha Gautama, l’homme qui, après une vie d'abord princière, puis ascétique, est parvenu, grâce à la méditation, à l'état de conscience suprême qui a fait de lui le Bouddha, "l'Eveillé", et a fondé, par ses sermons, une voie distincte de l'hindouisme.

D’emblée, le voyageur saisit ainsi que le bouddhisme conserve tous ses droits dans ce petit pays enclavé d'Asie du sud-est qui a souffert d'une histoire mouvementée.

Fréquemment aux prises, au fil des siècles, avec les convoitises des voisins chinois, thaïlandais, cambodgiens et vietnamiens, le Laos a été, à la demande de son roi, un protectorat de la France à la fin du XIXe siècle avant de devenir une colonie française dans le cadre de l’Union d'Indochine.

Ensuite, pendant la guerre du Vietnam, le Laos a été affreusement bombardé par les Américains : avec un raid toutes les 8 minutes pendant 9 ans, il aurait même été le pays le plus bombardé de l'histoire !

Aujourd'hui, des explosifs enfouis sous terre, y tuent encore quotidiennement, tandis que bien des sols restent contaminés par les produits chimiques largués par l'armée américaine.

En 1975, à la fin de cette guerre éprouvante et meurtrière - suivie par une guerre civile -, les communistes du Pathet Lao ont mis fin à la monarchie et pris le pouvoir.

Des eaux de plus en plus convoitées

Le barrage de Xayaburi - Photo : PB
Le barrage de Xayaburi - Photo : PB
Ce qui surprend davantage celui qui vient pour la première fois au Laos c’est que, bien que Vientiane, l'actuelle capitale, soit lovée sur une rive du Mékong (sur la rive opposée, c’est la Thaïlande), la croisière ne puisse pas y débuter !

En effet, les eaux de ce fleuve puissant, né dans l’Himalaya, qui façonnent sur plus de 4 000 kilomètres des paysages d’abord abrupts, en Chine, puis faits de rizières et de vergers en Birmanie, Thaïlande, Laos, Cambodge et Vietnam, sont de plus en plus convoitées.

Elles sont donc désormais bridées par d’innombrables barrages. Au Laos, ces barrages sont notamment à l'origine d'une hauteur d’eau parfois faible et d'un cours encombré par une multitude de rochers, rendant la navigation compliquée.

Cela ne devrait pas s’arranger à l’avenir. Parce qu’il est l’un des pays les plus pauvres du monde, le Laos mise sur l’énergie hydroélectrique pour se développer et surtout pour faire rentrer des devises en vendant 80% de son électricité à la dynamique Thaïlande voisine.

D’autres barrages sont donc en projet, avec, en vue, des controverses, comme ce fut le cas pour le barrage de Xayaburi que l'on traverse pendant la croisière.

C’est en tous cas en bus que les (futurs) passagers quittent Vientiane pour rejoindre d’abord Bang Vang où les attend une barge. Après six heures de navigation sur cette embarcation étroite et peu longue, dans d’appréciables conditions de confort - et un délicieux repas servi à bord -, les passagers embarquent enfin à Pak Lai sur le R/V Champa Pandaw 4*.

Bounkong, guide laotien chevronné, cultivé et jovial, les accompagnera jusqu’aux portes de la Thaïlande où, comme c’est la règle, un guide thaï prend la relève.

A bord du R/V Champa Pandaw 4*, intimité et confort

Toutes les cabines sont équipées de deux lits pouvant être rapprochés - Photo : PB
Toutes les cabines sont équipées de deux lits pouvant être rapprochés - Photo : PB
Si le R/V Champa Pandaw 4* a été spécialement conçu pour naviguer dans les eaux du Haut-Mékong entre le Laos et la Thaïlande, le teck et le cuivre n'en apportent pas moins une note authentique et raffinée à sa décoration.

Avec 12 cabines sur le pont principal et 2 sur le pont supérieur - toutes de 14 m2, toutes dotées d’une baie vitrée ouvrable sur la coursive extérieure, toutes climatisées -, ce petit navire très bien entretenu allie intimité et confort.

Le service est très attentionné. Les repas sont servis dans le bar-restaurant climatisé. A l’extérieur, quelques tables permettent de profiter de la vue sur le fleuve, de lire ou de prendre un verre.

Les menus, élaborés par le chef, sont faits de plats locaux traditionnels, souvent raffinés, mais adaptés au goût occidental (point trop relevés, donc !), accompagnés d’eau minérale, de vin blanc et rouge. Thé et café sont servis à discrétion. Est, en revanche, payante, la carte proposant un large choix de vins et alcools.

Le bar-restaurant accueille aussi les conférences. Deux causeries sont données par Bounkong, une autre par Francis Engelman, urbaniste et écrivain vivant à Luang Prabang. Les deux se complètent fort bien.

Ainsi, si lors de la première causerie, Bounkong surprend en assurant que le Laos est un « pays libéral » ; au fil des discussions et des rencontres, les réalités locales assez complexes se dessinent peu à peu sans que les choses ne soient jamais tout à fait dites.

Au vrai, l'économie de marché qui permet désormais à une minorité de gagner beaucoup d'argent semble cohabiter sans difficulté avec la gestion politique ferme du parti unique au pouvoir.

Lire aussi : Rivages du Monde poursuit sa montée en gamme

Une navigation compliquée

Idéal pour se détendre, paresser au soleil et profiter des paysages verdoyants de collines traversés, le pont Supérieur du R/V Champa Pandaw 4*, est un poste d'observation approprié pour mesurer la complexité de la navigation sur le Mékong.

Sur ce fleuve, aucun chenal n’est sérieusement délimité par des bouées de signalisation - tout au plus aperçoit-on, de-ci de-là, quelques bouteilles en plastique amarrées on ne sait trop comment.

Heureusement, le capitaine - ou plutôt les capitaines, car il y en a deux - connaissent par cœur chaque recoin du parcours, et savent slalomer avec dextérité entre les innombrables affleurements rocheux, tout en évitant les remous et les impressionnants tourbillons. Jamais, on ne se sent en danger !

L’autre avantage du R/V Champa Pandaw 4*, c’est qu'il permet de vivre des expériences uniques dans une région encore largement méconnue. De petite taille, il peut en effet accoster à des endroits un peu confidentiels.

Cela n’exclut pas quelques surprises, comme l'impossibilité de démarrer un matin à l'heure prévue à cause du brouillard. Ou, au milieu d'une nuit, la remise en route subite des moteurs. Cette nuit-là, le niveau du fleuve baissait à toute vitesse (heureusement, un gardien veillait !) suite à une retenue d’eau faite très en amont - par les Chinois, paraît-il !

Pour ne pas se retrouver échoué sur la berge, le R/V Champa Pandaw 4* a dû se déplacer dans le noir de manière imprévue !

Des réalités contrastées

La situation de bien des paysans laotiens reste très précaire - Photo : PB
La situation de bien des paysans laotiens reste très précaire - Photo : PB
A la faveur des mini-escales du R/V Champa Pandaw 4*, quelques-uns des villages nichés sur bords verdoyants du Mékong se laissent agréablement découvrir.

Ces visites, organisées en amont par le DMC partenaire de Rivages du Monde, se font avec l’assentiment du chef du village et donnent lieu à un dédommagement, en argent ou, par exemple, en fournitures scolaires.

Commentées par Bounkong, jamais trop longues et toujours bien accueillies par les habitants et en particulier les enfants, ces incursions sur les berges du Mékong permettent de découvrir une flore souvent exubérante, des maisons traditionnelles en bois sur pilotis et de toucher du doigt des modes de vie restés très simples.

Et à l’occasion, pour les amateurs, de partager un verre d’alcool de riz !

A 25 km de Luang Prabang, les difficultés de la paysannerie laotienne ont pris un caractère encore plus concret avec la visite de la laiterie Laos Buffalo Dairy dont l’objectif est d’améliorer le revenu des éleveurs défavorisés, l’état sanitaire de leur cheptel, mais aussi de réduite l’importante malnutrition infantile.

L’activité de cette entreprise sociable et durable est soutenue par la production sur place de produits laitiers (fromages, glaces), le tourisme et les dons grâce à des campagnes de financement participatif.

Ces découvertes un peu "décalées" s'articulent agréablement avec celles de lieux désormais hautement touristiques comme comme les rafraîchissantes - et très belles - cascades turquoise de Kuang Si (Laos) ou encore Chang Rai, joyau de la Thaïlande où se termine la croisière.

A peine les a-t-on quittées, la nostalgie des paisibles berges du Haut-Mékong saisit.

Ce Laos encore très authentique, empreint de douceur et de tranquillité, est le point fort de cette croisière Rivages du Monde. Combinée à une hospitalité et une gastronomie raffinées, cette authenticité donne envie de revenir. Chiche ?


PAULA BOYER Publié par Paula Boyer Responsable rubrique LuxuryTravelMaG - TourMaG.com
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