Les équipes d’Etihad commercialisent l'A321LR - cet avion « comme les grands » - en trois classes : first, business et économique - Photo : Etihad Airways
				 
			 
					 Encore lui ! 
					 
					 
					 
En cette rentrée 2025, il est la star de sa catégorie « New Midsize Airplane » sans vraiment de concurrence, après avoir renvoyé au vestiaire le vénérable Boeing 757, alors que le B737 MAX 10 attend encore sa certification.
					 
					 
L’Airbus A321 LR et sa version XLR, monocouloirs long-courriers, sont demandés partout.
					 
					 
En France avec La Compagnie, au Canada avec Air Canada, aux États-Unis avec American Airlines, en Asie avec Air Asia, et le voici dans le Golfe pour faire les beaux jours d’Etihad Airways.
			 En cette rentrée 2025, il est la star de sa catégorie « New Midsize Airplane » sans vraiment de concurrence, après avoir renvoyé au vestiaire le vénérable Boeing 757, alors que le B737 MAX 10 attend encore sa certification.
L’Airbus A321 LR et sa version XLR, monocouloirs long-courriers, sont demandés partout.
En France avec La Compagnie, au Canada avec Air Canada, aux États-Unis avec American Airlines, en Asie avec Air Asia, et le voici dans le Golfe pour faire les beaux jours d’Etihad Airways.
L’Airbus A321 LR redéfinit les voyages en monocouloir
À l’inverse de l’ancien PDG de Qatar Airways, Akbar Al Baker qui, lors de son lancement, estimait que ce type d’appareil n’était pas adapté à une expérience premium, les équipes d’Etihad commercialisent cet avion « comme les grands » en trois classes : First, Business et Économique.
Si l’on rentre dans le détail, la « First » se compose de deux « Suites » : des espaces privés et fermés avec portes coulissantes, lits entièrement inclinables et détails de design sur-mesure normalement réservés aux opérations long-courriers.
Chaque « First Suite » dispose d’un grand écran 4K de 20 pouces, de l’appairage Bluetooth, de la recharge sans fil et d’une petite banquette où une personne pourra venir s’asseoir pour partager un verre, un moment.
Un joli pyjama « Giorgio Armani » est offert dans une élégante pochette en cuir pour les vols de nuit, les menus sont raffinés avec caviar et, si l’on veut se restaurer, on peut aussi profiter de la restauration tout aussi raffinée des salons Etihad de l’aéroport.
					 La cabine « Business » compte 14 sièges en configuration 1-1, garantissant à chaque passager un accès direct à l’allée et une vue sur le hublot.
					 
					 
					 
Chaque siège Business comprend un écran 4K de 17,3 pouces, l’appairage Bluetooth pour les écouteurs et la recharge sans fil.
			 Chaque siège Business comprend un écran 4K de 17,3 pouces, l’appairage Bluetooth pour les écouteurs et la recharge sans fil.
					 Enfin, la classe « Economy » est équipée de 144 sièges bien étudiés pour de longues distances, avec de la place pour les jambes, de grands écrans tactiles 4K de 13,3 pouces, de la recharge USB et de la connectivité Bluetooth.
					 
					 
					 
La cabine dispose de compartiments de rangement supérieurs agrandis, offrant significativement plus d’espace bagages que les monocouloirs traditionnels.
			 La cabine dispose de compartiments de rangement supérieurs agrandis, offrant significativement plus d’espace bagages que les monocouloirs traditionnels.
Paris sur la « to do list » de l’A321LR
					 L’A321LR aura deux missions pour Etihad. Tout d'abord, voler vers les nouvelles et nombreuses destinations lancées par la compagnie dans le cadre de sa politique d’expansion assez impressionnante, puisque 27 nouvelles routes auront été lancées en une seule année.
					 
					 
					 
L’appareil entré en service le 1er août 2025 entre Abu Dhabi et Phuket continue de se déployer vers Alger, Bangkok, Chiang Mai, Copenhague, Düsseldorf, Kolkata, Krabi, Cracovie, Medan, Milan, Phnom Penh, Phuket, Tunis et Zurich.
					 
					 
Et puis, l’avion sera aussi utilisé sur des lignes déjà existantes pour renforcer les fréquences.
					 
					 
Ainsi, à partir du 1er février 2026 (et peut-être même dès le 1er janvier, murmure-t-on au siège d’Etihad), quatre vols hebdomadaires supplémentaires vers Paris sont prévus, opérés par l’A321LR, complétant les vols existants d’Etihad vers la capitale française assurés par l’A380 et le B787.
			 L’appareil entré en service le 1er août 2025 entre Abu Dhabi et Phuket continue de se déployer vers Alger, Bangkok, Chiang Mai, Copenhague, Düsseldorf, Kolkata, Krabi, Cracovie, Medan, Milan, Phnom Penh, Phuket, Tunis et Zurich.
Et puis, l’avion sera aussi utilisé sur des lignes déjà existantes pour renforcer les fréquences.
Ainsi, à partir du 1er février 2026 (et peut-être même dès le 1er janvier, murmure-t-on au siège d’Etihad), quatre vols hebdomadaires supplémentaires vers Paris sont prévus, opérés par l’A321LR, complétant les vols existants d’Etihad vers la capitale française assurés par l’A380 et le B787.
Un pont entre le Moyen Orient et l’Asie
					 Phnom Penh, au Cambodge, figure parmi ces nouvelles destinations et a été inauguré le 4 octobre dernier. 
					 
					 
					 
Une fierté pour Etihad qui s’honorait de devenir ainsi le premier lien non stop entre le Cambodge et le Moyen-Orient, offrant aussi via son hub d’Abu Dhabi un accès à Phnom Penh aux voyageurs venant d’Europe, d’Afrique et des Etats-Unis.
					 
					 
Pour ce pays d’Asie encore peu desservi par les grandes compagnies du monde entier, ce premier vol est vu comme une contribution susceptible d’augmenter la fréquentation touristique et attirer les investissements étrangers.
					 
					 
Comme sa voisine la Thaïlande, le Cambodge est riche d’un patrimoine culturel - avec des trésors comme les temples d'Angkor Vat -, gastronomique et naturel et veut développer ses infrastructures.
					 
					 
Le ministère cambodgien du Tourisme vise les 7 millions de visiteurs internationaux d’ici 2025.
			 Une fierté pour Etihad qui s’honorait de devenir ainsi le premier lien non stop entre le Cambodge et le Moyen-Orient, offrant aussi via son hub d’Abu Dhabi un accès à Phnom Penh aux voyageurs venant d’Europe, d’Afrique et des Etats-Unis.
Pour ce pays d’Asie encore peu desservi par les grandes compagnies du monde entier, ce premier vol est vu comme une contribution susceptible d’augmenter la fréquentation touristique et attirer les investissements étrangers.
Comme sa voisine la Thaïlande, le Cambodge est riche d’un patrimoine culturel - avec des trésors comme les temples d'Angkor Vat -, gastronomique et naturel et veut développer ses infrastructures.
Le ministère cambodgien du Tourisme vise les 7 millions de visiteurs internationaux d’ici 2025.
					 Signe impressionnant de cette volonté d’attirer le monde, le tout nouvel aéroport de Techo, flambant neuf, d’une superficie de 2 600 hectares, a été construit par une entreprise de construction publique chinoise et financé conjointement par le gouvernement cambodgien et une société privée, Overseas Cambodian Investment Corporation (OCIC). 
					 
					 
					 
Situé à 20 kilomètres au sud de la capitale, on ne s’étonnera pas du nom de la grande route construite pour y accéder : l’avenue Xi Jinping.
					 
					 
L’aéroport est beau, moderne, écologique et semble, pour le moment, totalement démesuré. Cependant, il doit permettre de voir affluer 13 millions de voyageurs par an et les autorités visent 50 millions de visiteurs d’ici 2050.
					 
					 
Il s’agit du deuxième plus grand aéroport à ouvrir au Cambodge en l’espace de deux ans, après celui financé par la Chine à hauteur de 1,1 milliard de dollars près du complexe d’Angkor.
			 Situé à 20 kilomètres au sud de la capitale, on ne s’étonnera pas du nom de la grande route construite pour y accéder : l’avenue Xi Jinping.
L’aéroport est beau, moderne, écologique et semble, pour le moment, totalement démesuré. Cependant, il doit permettre de voir affluer 13 millions de voyageurs par an et les autorités visent 50 millions de visiteurs d’ici 2050.
Il s’agit du deuxième plus grand aéroport à ouvrir au Cambodge en l’espace de deux ans, après celui financé par la Chine à hauteur de 1,1 milliard de dollars près du complexe d’Angkor.
Attirer le monde au Cambodge
					 Mais pour intégrer le club des destinations asiatiques prisées, le Cambodge devra développer ses capacités d’hébergement et ses infrastructures.
					 
					 
					 
Déjà en progression de 23% en 2024, les autorités multiplient leurs efforts pour augmenter le nombre de touristes internationaux.
					 
					 
En plus de la volonté d’améliorer les connexions aériennes internationales, le prix des visas touristiques et des visas d’entrée a été abaissé, la sécurité et la qualité de service sont renforcées et des campagnes de promotion dans le monde sont prévues.
					 
					 
De grandes enseignes hôtelières sont déjà présentes au Cambodge comme Raffles, Accor, Hyatt ou encore le très élégant Rosewood hôtel où nous avons passé deux nuits, avec sa vue panoramique sur la ville et le fleuve Mékong.
			 Déjà en progression de 23% en 2024, les autorités multiplient leurs efforts pour augmenter le nombre de touristes internationaux.
En plus de la volonté d’améliorer les connexions aériennes internationales, le prix des visas touristiques et des visas d’entrée a été abaissé, la sécurité et la qualité de service sont renforcées et des campagnes de promotion dans le monde sont prévues.
De grandes enseignes hôtelières sont déjà présentes au Cambodge comme Raffles, Accor, Hyatt ou encore le très élégant Rosewood hôtel où nous avons passé deux nuits, avec sa vue panoramique sur la ville et le fleuve Mékong.
					 À moins de deux heures de voiture de la capitale, nous avons également découvert le magnifique Farmhouse Resort Spa. 
					 
					 
					 
En pleine nature, cet établissement luxueux, doublé d’une ONG, réinvestit les bénéfices dans la formation et le développement de la communauté locale. Apaisant, reposant, passionnant.
					 
					 
Néanmoins, lors de notre passage, l’établissement était loin d’avoir fait le plein. « Nous luttons contre les articles alarmistes décrivant le Cambodge comme un pays en guerre avec la Thaïlande où la sécurité n’est pas assurée », nous a confié Daniel Naweji Ruprecht, le directeur général de l’établissement.
					 
					 
Dans ce magnifique havre de paix, à 250 kilomètres de la frontière entre les deux pays, effectivement, aucun danger.
					 
					 
Bonne nouvelle cependant, puisque le mémorandum signé le dimanche 26 octobre 2025 à Kuala Lumpur entre la Thaïlande et le Cambodge devrait ramener la stabilité des relations bilatérales.
			 En pleine nature, cet établissement luxueux, doublé d’une ONG, réinvestit les bénéfices dans la formation et le développement de la communauté locale. Apaisant, reposant, passionnant.
Néanmoins, lors de notre passage, l’établissement était loin d’avoir fait le plein. « Nous luttons contre les articles alarmistes décrivant le Cambodge comme un pays en guerre avec la Thaïlande où la sécurité n’est pas assurée », nous a confié Daniel Naweji Ruprecht, le directeur général de l’établissement.
Dans ce magnifique havre de paix, à 250 kilomètres de la frontière entre les deux pays, effectivement, aucun danger.
Bonne nouvelle cependant, puisque le mémorandum signé le dimanche 26 octobre 2025 à Kuala Lumpur entre la Thaïlande et le Cambodge devrait ramener la stabilité des relations bilatérales.
Abu Dhabi, un stopover riche en expériences
					 En opérant de nombreuses nouvelles routes et vers des villes moyennes, l’A321LR va également augmenter l’accessibilité des voyageurs au hub d’Abu Dhabi.
					 
					 
					 
En effet, comme les autres grandes plaques tournantes aériennes de la région - Doha, Dubaï - Abu Dhabi se veut être un lieu riche en expériences touristiques, tout en proposant des connexions fluides vers des destinations clés à travers le monde, via son hub global.
					 
					 
Etihad propose donc le programme « Abu Dhabi Stopover », qui permet aux voyageurs de transformer leurs escales en city break avec jusqu’à deux nuits offertes dans des hôtels premium.
					 
					 
Pour l’avoir testé, le stopover tient ses promesses. Il peut être culturel, cultuel, ludique, gastronomique, balnéaire ou tout à la fois.
					 
					 
Car, comme les autres villes du Golfe, Abu Dhabi se transforme pour faire une place importante au tourisme. Capitale fédérale des Émirats arabes unis, plus discrète et moins « bling bling » que Dubaï, la plus grande ville du pays a des atouts indéniables.
					 
					 
Selon ses goûts et ses envies, on a l’embarras du choix. Parmi les offres très nombreuses, nous avons pu tester des sites remarquables.
					 
					 
Au nord-est de la ville, rendez-vous sur l’île de Saadiyat où l’on trouve de nombreux lieux culturels uniques de l’émirat, comme Manarat Al Saadiyat, le Guggenheim Abu Dhabi (qui ouvrira ses portes sous peu) ou le Musée national Zayed.
					 
					 
Et bien sûr, au bout de la grande rue « Jacques Chirac », l’incontournable Louvre d’Abu Dhabi que nous avons visité. Un musée magnifique avec, entre autres, ses salles consacrées à l’histoire des civilisations.
					 
					 
Lire aussi : 72 heures chrono à Abu Dhabi : les incontournables
			 En effet, comme les autres grandes plaques tournantes aériennes de la région - Doha, Dubaï - Abu Dhabi se veut être un lieu riche en expériences touristiques, tout en proposant des connexions fluides vers des destinations clés à travers le monde, via son hub global.
Etihad propose donc le programme « Abu Dhabi Stopover », qui permet aux voyageurs de transformer leurs escales en city break avec jusqu’à deux nuits offertes dans des hôtels premium.
Pour l’avoir testé, le stopover tient ses promesses. Il peut être culturel, cultuel, ludique, gastronomique, balnéaire ou tout à la fois.
Car, comme les autres villes du Golfe, Abu Dhabi se transforme pour faire une place importante au tourisme. Capitale fédérale des Émirats arabes unis, plus discrète et moins « bling bling » que Dubaï, la plus grande ville du pays a des atouts indéniables.
Selon ses goûts et ses envies, on a l’embarras du choix. Parmi les offres très nombreuses, nous avons pu tester des sites remarquables.
Au nord-est de la ville, rendez-vous sur l’île de Saadiyat où l’on trouve de nombreux lieux culturels uniques de l’émirat, comme Manarat Al Saadiyat, le Guggenheim Abu Dhabi (qui ouvrira ses portes sous peu) ou le Musée national Zayed.
Et bien sûr, au bout de la grande rue « Jacques Chirac », l’incontournable Louvre d’Abu Dhabi que nous avons visité. Un musée magnifique avec, entre autres, ses salles consacrées à l’histoire des civilisations.
Lire aussi : 72 heures chrono à Abu Dhabi : les incontournables
		 Autres articles
	 
					 Autre site visité, le teamLab Phenomena qui vous invite à une très belle déambulation onirique, une expérience très originale, lumineuse, aquatique, féérique.
					 
					 
					 
L’île de Saadiyat offre aussi ses plages et ses restaurants. Testé ce jour-là, le très zen, élégant et délicieux restaurant méditerranéen « Safina » du Saadiyat Beach Club où vous pourrez aussi profiter de la plage, de la mer et des piscines.
			 L’île de Saadiyat offre aussi ses plages et ses restaurants. Testé ce jour-là, le très zen, élégant et délicieux restaurant méditerranéen « Safina » du Saadiyat Beach Club où vous pourrez aussi profiter de la plage, de la mer et des piscines.
					 À la tombée de la nuit, ne pas manquer également la visite de l’impressionnante Mosquée Sheikh Zayed, ouverte à tous avec ses marbres, ses dômes, ses lustres et son extraordinaire tapis persan de 5 625 m² !
					 
					 
					 
De par le nombre de possibilités, un stopover à Abu Dhabi se prépare pour en profiter pleinement.
					 
					 
D'ailleurs, la programmation des mois qui viennent s'annonce riche et pour tous les goûts ! Citons parmi bon ombre d’autres événements, des grands concerts (Enrique Iglesias, Travis Scott, Rod Stewart), des comédies musicales venues de Broadway (Beetlejuice The Musical), de la gastronomie avec le Michelin Guide Food Festival Abu Dhabi et l’Open Fire Food Festival.
					 
					 
Il y a aura aussi des temps forts culturels, comme le Traditional Handicrafts Festival, le Maritime Heritage Festival, Sounds of UAE, et enfin le très attendu Grand Prix de F1 Abu Dhabi 2025 du 5 au 7 décembre prochain.
					 
					 
Lire aussi : D’Al Ain Region à The Sphere, Abu Dhabi mise sur l’immersion pour séduire 40 millions de visiteurs
			 De par le nombre de possibilités, un stopover à Abu Dhabi se prépare pour en profiter pleinement.
D'ailleurs, la programmation des mois qui viennent s'annonce riche et pour tous les goûts ! Citons parmi bon ombre d’autres événements, des grands concerts (Enrique Iglesias, Travis Scott, Rod Stewart), des comédies musicales venues de Broadway (Beetlejuice The Musical), de la gastronomie avec le Michelin Guide Food Festival Abu Dhabi et l’Open Fire Food Festival.
Il y a aura aussi des temps forts culturels, comme le Traditional Handicrafts Festival, le Maritime Heritage Festival, Sounds of UAE, et enfin le très attendu Grand Prix de F1 Abu Dhabi 2025 du 5 au 7 décembre prochain.
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